MERCI
BERNARD
Les Brécéens
n’oublieront pas celui qui a été à leurs côtés durant 29 ans, et depuis 40 ans
dans le paysage bocagé de la Vallée de la Sée. (Sa) Vallée, qu’il n’a cessé de
défendre et de promouvoir. Son premier don était d’aimer la vie. Il aimait
à partager ses passions. Il ne pouvait résister au plaisir d’inventer du
neuf. Mais il savait aussi s’engager au service de la liberté d’être et de
penser. Sa force de conviction et son enthousiasme forçait l’admiration.
Toujours positif, ses intuitions se révélaient souvent d’une justesse
confondante. Comme peu d’élus avant lui, il sût en transmettre le plaisir. Il
exigeait que chaque nouvelle idée soit une histoire. Sous sa gouvernance, le Canton de Brécey a connu un essor exceptionnel.
Son action au Conseil général puis départemental dont il a été le Vice président à la commission permanente, et président à la Commission des solidarités a été déterminant. Les attaques dont il fut l’objet ces derniers mois l’ont profondément blessé. « En politique il faut avoir le cuir épais » avait-il coutume de dire comme pour donner le change. Mais nous, ses amis proches qui le connaissions, savions qu’il en était très affecté. Chacun sait que le cuir se patine, et les flèches décochées contre lui ont fini par le transpercer. Les blessures par les mots peuvent porter un coup mortel et c’est ce qui s’est passé. Les auteurs sont aujourd’hui face à leur conscience. Si tant est qu’ils en ait une !
Son action au Conseil général puis départemental dont il a été le Vice président à la commission permanente, et président à la Commission des solidarités a été déterminant. Les attaques dont il fut l’objet ces derniers mois l’ont profondément blessé. « En politique il faut avoir le cuir épais » avait-il coutume de dire comme pour donner le change. Mais nous, ses amis proches qui le connaissions, savions qu’il en était très affecté. Chacun sait que le cuir se patine, et les flèches décochées contre lui ont fini par le transpercer. Les blessures par les mots peuvent porter un coup mortel et c’est ce qui s’est passé. Les auteurs sont aujourd’hui face à leur conscience. Si tant est qu’ils en ait une !
Pour Brécey, La
nouvelle équipe aura la lourde tâche, non pas de lui ressembler, ni de le
copier c’est impossible. Mais de s’en inspirer grâce à l’héritage considérable
qu’il laisse derrière lui. Le grand livre de l’histoire de Brécey tourne une
page, il faut maintenant en écrire une nouvelle.
Rien ne change, mais
tout change.
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RépondreSupprimerCher Bernard
RépondreSupprimerVous me manquez terriblement
Je n’arrive pas à mettre au dessus de moi votre départ
Ce n’est pas vous ! De partir sans crier garde !
Votre optimisme me manque
Votre présence me manque
Vous nous manquez, nous, les hommes et les femmes qui ont tellement reçu de vous
Je suis certain que ceux qui vous ont fait souffrir ne l’emporteront pas au paradis
Nous y veillerons, soyez en sûr
Votre directeur, votre ami
Yves Dezellus