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Ras
le bol, ras la casquette, la coupe est pleine. Depuis 2014, ils sont 1021 à
avoir raccroché l’écharpe, du jamais vu. Les maires sont deux fois plus
nombreux à démissionner. Un malaise plus important en milieu rural où ils
représentent 85%. En cause : un sentiment d'inutilité et de mise au
placard. La majorité des édiles démissionnaires ne remettent pas en question
les tâches quotidiennes et les responsabilités qui leur incombent vis à vis de
leurs concitoyens; ils en connaissaient la charge. Le vrai problème c'est tout un ensemble de facteurs qui
conduisent les élus de base à se retirer de la vie démocratique de leur
territoire. Ce constat en dit long sur leur moral et sur leurs
déceptions dont les causes sont à rechercher dans des réformes faites à
l'emporte pièces sans vision d’avenir sinon celle de remettre à l'honneur un
jacobinisme dominant et destructeur. La vérité c’est que les élus en ont
marre d'avaler les
couleuvres de petits prétentieux et ignorants qui ne connaissent de leurs
territoires et de la France que ce qu'ils en ont appris dans les livres. Et
encore. Philippe Rion, maire de Castillon ( Alpes Maritimes) parle de
" désespérance face à l'arrogance de l'Etat"; il a jeté l'éponge en
étant arrivé à ne plus savoir comment payer ses employés. Un reportage
sur France2 diffusé le samedi 11/8 montre bien à travers deux exemples en
Bretagne l’écoeurement et le désarroi des maires. Bien d'autres confirment ces
difficultés dues en partie aux baisses des dotations de l'Etat, près de 50% de la
dotation globale de fonctionnement en cinq années. En 2013, cette DGF
représentait en moyenne 21% des recettes de fonctionnement des communes contre
14,8% en 2017. Ce n'est pas la suppression de la taxe d'habitation qui va
arranger les choses quant on sait qu'elle représente une moyenne de 34%
des recettes fiscales. En fait, les communes vont devenir de plus en plus une
variable financière d'ajustement aux yeux de l'Etat qui les accuse
d’être trop dépensières. Oubliant que leurs investissements contribuent au
développement des entreprises.
La loi NOTRe avec ses fusions des Régions et des
communautés n'avait pas d'autres raisons à priori que celles de faire des
économies. Une intention louable en cette décennie de disette budgétaire (
enfin pour les communes) car l’Etat dépense toujours autant merci. Résultat
nous voyons ce qu'il en est. Il
n'y a pas besoin d'aller très loin pour le vérifier. Hervé Morin, le président
des Régions, le constate pour son propre territoire, la Normandie. Dans bien
des départements, comme dans celui de la Manche, certains budgets de grandes
communautés ont augmenté de plus de 10% en 2017 avec des incidences
inévitables sur les investissements futurs et pour les contribuables.
Même si les impôts directs n'ont pas augmenté car, sous prétexte d'équité, on
nivelle par le haut certaines contributions annexes. À défaut on vend les bijoux de
famille pour se refaire une santé provisoire. À défaut encore, il arrive qu'on ait le toupet de demander des fonds de concours aux communes pour des projets
dont elles n'ont plus la compétence. Ben voyons ! Dans ce cas redonnons leur sans attendre des compétences avec compensation. C'est la seule façon de faire retrouver de la proximité et de la réactivité aux territoires et des responsabilités aux élus locaux, placés au rang de figurants qui n'ont plus grand chose à dire dans des assemblées
plénières pléthoriques de plus d'une centaine d'élus où toutes les décisions à
prendre semblent déjà bien engagées. Ainsi naît le sentiment d'inutilité, celui de faire tapisserie dans un bal masqué ; un sentiment repris en
choeur sur le terrain qui les conforte dans leur désir de se retirer aux
prochaines élections. Ce sont les communes rurales les plus impactées, petites et grandes qui ne sont plus représentées souvent que
par deux ou trois élus (sauf communes nouvelles de même importance). Et encore, quand ils sont présents ! il arrive que
l'absentéisme dépasse 30% des membres. Fort heureusement 50% de ces absents
donnent un pouvoir à un collègue par bonne conscience. Les conséquences se
répercutent sur le terrain où beaucoup d'administrés n'ont plus d'écoute locale ni de réponses à leurs doléances. C'est, bien sûr, l'élu local qui prend les coups. Pourquoi est-il allé se perdre dans ces grandes collectivités où l'administration se renforce? Il est
urgent de mettre un terme à cette grande dépression. A moins que ne germe dans les cartons
du gouvernement un projet visant à remettre en cause la situation actuelle. Qui sait? Les
édits de 1764 et 1765 avaient bien tenté de faire choisir le maire par le roi. Macron n'est pas Louis XV mais Jupiter ne manque pas d'idées. Une fois le Sénat supprimé, il aura les mains libres. En attendant le monde rural a
tout de même beaucoup à s'inquiéter de son avenir. Une chose est sûre, il est
déjà le grand perdant de la loi NOTRe et il continuera de l'être car Penser global pour agir local reste une vue de l'esprit à bien des niveaux.
Sarkozy avait compris un peu contraint et forcé qu'il ne fallait pas aller plus loin avec la loi NOTRE. Holland voulu aller plus loin aidé par Cazeneuve. Macron a des idées la dessus : suppression des départements et du Sénat. Ne nous trompons pas la dessus... les Morin et consorts ont les mêmes idées. Bonjour les dégats. JCE
RépondreSupprimerLe développement économique dans le Sud Manche, c'était Pinel, Thoury, Bizet et vous-même. André a fait le syndicat mixte avec Ducey et Avranches. Ce sont les hommes et non les structures qui font l'économie. On n'est pas sortis de l'auberge. OM
SupprimerFaut arrêter ces conneries de pôles territoriaux. Essayez d'écouter les élus du mortainais. Vous allez comprendre. Mais c'est pas mieux ailleurs. Un directeur de pôle sur Avranches. On n'en avait pas besoin hier. Et ça marchait bien.
RépondreSupprimerC'est pas mieux chez nous à Saint James où la commune nouvelle n'arrange pas les choses. Elle ne fait qu'ajouter aux lenteurs alors que ça devrait être l'inverse. Le trop plein sans doute. Un petit élu.
RépondreSupprimerPour troubler un peu plus la situation Morin se prend pour Guillaune et se joue des départements et de parlementaires avec quelques communautés qui n'ont pas tout compris. Grand Bazar.
RépondreSupprimerEst-ce qu'on a demandé des fonds de concours pour les salles de sport? Il est vrai que la communauté n'a plus un sou pour entretenir les salles actuelles.
RépondreSupprimerNi pour mettre des drapeaux au terrain de camping pour la 1ère fois en prés de 40ans. Ce n'est pas de la pauvreté mais de l'avarice ou pire, du désintérêt. A quoi sert votre pôle territorial? Ils s'en foutent.YG
SupprimerLes élus vent debout contre la loi NOTRe ? Ils ont pourtant largement eu le temps de lire les différentes version du projet et d'en parler avec leurs Sénateurs, encore eut il fallu pour cela, bosser un peu et ne pas se contenter comme d'hab de lever la main en ne comprenant rien aux délibérations qui passent. Les Elus locaux sont responsables de ce qui leur arrive, ils ont laissé faire et continuent, n'ont ils pas voté une vente qui fait grand bruit en ce moment ? n'ont ils pas accepté lors de la dernière fusion tous les projets que chaque ex communauté avait engagés ? N'ont ils pas porté au pouvoir un jeune ambitieux sans expérience ? (il n'est pas arrivé là par hasard me semble t il). Alors que chacun assume sa part de responsabilité et pour une fois que les élus locaux arrêtent de geindre. La démission existe. Dans le milieu professionnel, quand on est courageux et responsable, on agit et on s'en va, quand on ne l'est pas, on se plaint mais on reste dans sa zone de confort et de petit pouvoir. La France crève de l'incompétence et de l'incurie de ses très (trop) nombreux élus, il est grand temps de faire le ménage.
RépondreSupprimerOui mais plus ça ira plus la médiocratie augmentera. Je ne suis pas sur qu'il faille parler de médiocratie pour les élus de base. Il y a beaucoup de bon sens mais il ne sert que lorsque toutes les données sont apportées à chacun. Et sur ce point le mensonge par omission est roi.
SupprimerLa communauté de communes du val de Sée avait demandé une dérogation pour rester seule avec ses quelques 9400 habitants quand d'autres élus du Sud Manche voulaient une communauté encore plus grande. Le Mortainais lui était divisé politiquement sur ce point.JCE
RépondreSupprimerQuand le préfet vous impose des solutions qui ne comptent pas la dérogation il faut choisir entre la peste et le choléra.
SupprimerVous auriez dû vous limiter à une grande vallée de la Sée jusqu'à Mortain-Sourdeval. Vos excédents suffisaient à absorber leurs pertes...
Et de toute façon M. Nicolas vous aura piqué excédents et vendu vos actifs pour boucher les trous.
Il y avait aussi la solution Villedieu (peut être moins pire qu'Avranches) avec qui le Val de Sée travaillait déjà.
Tout à fait d'accord avec les deux dernières réactions. Si les élus avaient plus de C...on en serait pas là.
RépondreSupprimerVoici un copié-collé qui me plaît bien : "... que chacun assume sa part de responsabilité et pour une fois que les élus locaux arrêtent de geindre".
RépondreSupprimerJ'adhère d'ailleurs totalement à la réponse entière et très pertinente de cet anonyme perspicace.
La "zone de confort", même "inconfortable" de nos élus doit être tout de même "intéressante", quelque part, pour qu'ils y restent....
Non ?
Je pense que pour certains c'est comme pour un artiste face à son oeuvre d'art inachevée. Et ce n'est pas parce qu'il n'a plus de tubes de peinture qu'il ne va pas se battre pour finir la toile en résactivant sa vieille palette.
SupprimerEt si vous pensez que quelques centaines d'euros suffisent à motiver je crois que vous vous trompez.
Ce qui est inquiétant c'est qu'ils commencent à ne plus y rester. Tout le monde n'a pas la même résistance à la frustration.
SupprimerPourquoi quelqu'un qui trouverait la place "intéressante" irait se plaindre et passerait son temps à geindre ?
Il faut peut-etre arrêter les raccourcis faciles.
Et puis il reste toujours la possibilité de vous présenter pour remplacer les déçus ou contestataires et aller peupler les chaises de moutons apathiques à défaut de chiens savants.
Les français devront arrêter de geindre quand il leur faudra vivre en ville et continuer de se faire tondre.
Il y a plusieurs types de maires. Je ne vais pas les décrire là mais la grande masse des maires ruraux sont des gens du style pompier volontaire. Ils donnent de leur temps mais ne veulent pas qu'on leur fasse prendre des vessies pour des lanternes et qu'on s'amuse à casser ce qui a très bien marché pour des raisons de dominance idiote et d'existence. Moi, élu, plus que la réforme Notre, ce sont des hommes que j'ai découvert qui m'ont très déçu. Le mensonge est devenu une arme politique qu'on veut nous faire boire comme du ptit lait. C'est bien d'avoir votre blog pour pouvoir s'exprimer. Merci
RépondreSupprimerEn tout cas, celui que nous avons est particulier. C'est un cas àlui tout seul. Photos de profil et de face sur facebook, une signature très sophistiquée et à rallonge. Une espèce très rare qui descend directement de Guillaume roi d'Angleterre.
SupprimerLe mensonge et la renonciation de la parole donnée.... le manque de sincérité... c'est tout cela aussi pourrit la vie politique (au sens noble)
SupprimerLa seule place intéressante est celle de président d'Epci qui cumule avec son mandat de maire. Pour les vice-presidents ils touchent moins que l'agent de base. Les simples délégués communautaires ?... des bénévoles.
RépondreSupprimerAlors oui on a le droit de gueuler quand on vous explique que tout le temps passé dans l'action à côté d'un "grand" élu qui prenait le temps de vous expliquer et de faire dans la pédagogie avant les réunions formelles, l'a été pour rien ; qu'on est tous des cons et que seul le nouveau aurait la vérité et le destin du territoire en main. Il a fait quoi ce monsieur avant ? Il est arrivé à sa place par rejet d'anciens élus et pas pour un programme. Il se devrait d'être plus humble et respectueux de ceux qui ont fait avant lui.
Aucun des élus qu'il pietinne aujourd'hui ne l'a fait lui même pour son prédécesseur. On existe par ce que l'on fait pas parce que l'on est ou que l'on veut faire croire.
Alors oui il est un temps où il faut commencer à protester quitte à passer dans l'opposition. Et une opposition n'est pas systématique en fond.
L'élu dont vous parlez s'est discrédité d'entrée en revenant sur sa parole puis sur celle de ses collegues et sur leurs engagements. Les coups qu'il leur a fait dans leur dos. Les projets annoncés remis. N'avait rien à faire dans cette galère.Pas étonnant que vous ayez cet absenteisme. Comment voulez vous qu'on ait envie de poursuivre à côté d'individus qui ne grandissent pas l'image de l'élu.
SupprimerAu lieu de courber l'échine, plus ou moins, consultez-vous, "petits" maires de campagne, ou plus...et "indignez-vous", ensemble, comme un seul homme; faîtes en sorte que les lignes bougent.....
RépondreSupprimerSinon, à quoi bon continuer une activité louable mais usante si elle n'engendre que frustration, dépressions.....
A ceux qui ne "jettent pas l'éponge" d'agir et de chasser les moutons noirs, les mauvais plans, les coups de couteaux dans le dos...
C'est peut-être un raccourci facile mais une colère justifiée, commune,organisée, sans peur, vaut mieux que d'encaisser "sans rien dire", chacun dans son coin, ou presque...
Comme il leur a été dit par la garde rapprochée, les contestataires pourront s'exprimer dans les urnes. Avant leur gesticulation est inutile.
SupprimerPour le message qui parle de "gesticulation inutile" au lieu de "s'exprimer dans les urnes".....
SupprimerExcusez-moi cher(e) inconnu(e) mais les urnes ne reflètent pas les espoirs que nous y mettons....
Alors oui "gesticulons", "gesticulez" ....mais pas de la façon dont vous le laisser entendre (bêtement peut-être..et vainement surtout).
Permettez-moi de vous "offrir" une tite phrase que j'aime particulièrement 🙂.
"Un intellectuel assis (encore faut-il l'être) vaut moins qu'un "con" qui marche"...
Croyez-moi, ça fait du bien un peu d'exercice...😉
LCI 19h/15, 13 aout..." aucune commune nouvelle ne coûte moins chère qu'hier" et très peu d'élus sont satisfaits de la perte de proximité. Un auditeur tout simplement
RépondreSupprimerVous y prenez du plaisir vous dans cette agglo? Moi non excepté pour ce verre de l'amitié qui nous est offert depuis que des réunions se sont déroulées à Brécey. Il y a d'autres exemples à prendre mais l'heure n'y est pas. Pourquoi le Val de Sée est tant méprisé?
RépondreSupprimerParce que DN avait calculé que tout le monde suivrait Esnouf et que la majorité ne serait pas fidèle à Bernard Trehet.
SupprimerIl nous en veut de devoir son élection à l'intervention de BT pour le 3ème tour.
Comme tout bon narcissique il considère que BT et le Val de Sée lui font de l'ombre. Saint James, St Hilaire et le Mortanais sont soumis et moins chiants pour lui.
Et même s'il ne le reconnaîtra jamais, sans les comptes du Val de Sée la nouvelle agglo serait en faillite. Un comble de devoir encore çà à Trehet et ses anciens amis élus.
C'était un plaisir de pouvoir mettre toutes les idées sur la table avant les plénières. Vrai travail de participation et de confiance. Notre président du Val de Sée nous a fait jouer le jeu pour la présidence de l'agglo. C'est ça l'honnêteté politique. La déception est grande dans le Val de Sée mais on s'en sortira.
RépondreSupprimerLa plupart des mépris ne valent que du mépris
RépondreSupprimerMONTESQUIEU
Oui mais le mépris n'apporte pas de solutions aux problèmes qui se posent dans le monde rural, le vieillissement, les services de proximité, l'artisanat, le commerce, l'économie. Pour 100€ il faut faire devis, bon de commande et tutti quanti. Dites vous bien que l'avenir économique du mortainais est bien sombre. Il a fallu pleurer pour renouveler la subvention à l'association commerciale du mortainais. Équité Équité quand tu nous tiens. La piscine de Mortain, on se questionne. L'école de musique de Saint Hilaire? On verra demain.etc...
SupprimerAvec 15% de couts de fonctionnement supplentaires par rapport à la situation initiale des 5 cdc vous vous attendiez à quoi ? Il va devoir couper dans tous les budgets puisqu'il n'est pas possible de rétrograder tous les directeurs nommés et de virer tous les cadres recrutés...
RépondreSupprimerIl avait un chèque en blanc. La ruralité va payer ses égarements. Et vous pouvez vous attendre à des pirouettes pour vous culpabiliser. Ce genre de personnage ne se remet jamais en cause.
Bien vu de la part d'un brécéen et merci. Le modérateur n'a pas bien fait son travail. Les messages personnels n'ont pas lieu d'être adressés sur ce blog, y compris quand son auteur est bloqué par ailleurs. Rien de grave mais évitons les quiproquos.
RépondreSupprimerLe retrait de l'économie au département s'avère une erreur. les nouvelles communautés n' ont ni l'expérience ni l'argent qu'elles mettent ailleurs. De plus certains maires ont montré leur dynamisme dans ce domaine. l'ACOME en est un bon exemple, il a fallu faire un syndicat mixte entre l'agglomération et le département. Que va devenir NOVEA ? Un bon projet qui va accoucher d'une souris. F.A.
RépondreSupprimerLa question est : pourquoi autant de défections de la part des maires aujourd'hui ? Peut-être qu'avoir ce mandat n'est pas ou plus aussi simple. Peut-être qu'il faut davantage de compétences que d'ambition...Dans la balance il n'y a pas QUE la baisse des subventions pour créer de la culture, l'entretien de routes ou aider des petites associations pour aider chômeurs ou enfants... Non il y a aussi
RépondreSupprimerLa passion, la niaque, le courage qui manquent cruellement à certains MAIRES.
Cette génération veut tout mais sans que cela soit trop dur. Le mandat de maire est un mandat à part, il faut être proche des citoyens, les comprendre, les contenter mais attention avec modération tout de même car beaucoup de citoyens veulent tout et tout de suite. Eh! Oui, il faut des efforts dans les deux sens. Mais certains MAIRES ont tout compris; ils donnent rien et prennent tout comme à Avranches. Président de l'agglo, le même prend tout à la vallée de la See ou s'associe avec des villages qui apporteront beaucoup.. Malin le lynx, ainsi, qui l'eût crû, il n'augmentera pas les impôts puisque ce sont les autres qui paieront en comblant les trous. Pour ce tour de force, il faut faire courrir des ragots sur le Val de See et BT et comme tous ragots, il n'y a que les imbéciles pour les croire et les colporter. Ça en fait des IMBÉCILES !
Solidarité oblige. Le terrain de camping n'a pas eu droit à ses cinq drapeaux. Trop chers sans doute. Pierre M.
RépondreSupprimerLes campings sont aussi d'intérêt communautaire ? Il reste quoi à part les trottoir et les écoles à gérer pour les mairies ?
RépondreSupprimerCette question résumme tout. Si au moins c'était bien géré. Quand on est à Avranches on en a rien à faire de la piscine de mortain ou du chemin creux de Barenton. FA
RépondreSupprimerPuisque tout le monde semble d'accord pour dire que l'agglo à part Avranches, n'a rien à cirer des associations, piscines, crèches, campings ou le social des autres communes à part s'approprier ce qui peut les mettre en valeur, que les élus bougent leurs popotins et agissent, pour une fois !!! VIRER CES INCOMPÉTENTS !!! ET CESSEZ DE GEINDRE...
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