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samedi 28 avril 2018

La loi NOTRe : premiers dégâts collatéraux




photolia
Les premières conséquences de la loi NOTRe sont celles dont l'ensemble de la presse se fait l’écho depuis plusieurs semaines. Comment pourrait-il en être autrement, même si le petit président rondouillard d'hier, citoyen scootériste parisien à ses moments perdus, vantait les bienfaits financiers des grandes collectivités en vue du redécoupage des territoires qu'il préconisait pour s'inscrire dans l'histoire. A l'évidence,  les régions et Communautés n'ont pas toujours su passer de la théorie à la pratique. Croyant au miracle beaucoup d'élus n’ont pas su anticiper l'impact des restructurations et des changements organisationnels induits tant sur le plan humain que financier. L’auteur de "Un président ne devrait pas dire ça" s’est bien gardé de parler des conséquences néfastes  de son invention. En avait t’il au moins autant conscience que Nicolas Sarkozy qui l'avait limitée en son temps. Rendons lui cette justice.

Ça passe à l'orange

En un peu plus d’un an les embauches, les déplacements, les études de toutes sortes n'ont cessé d'augmenter pour finir par faire exploser les budgets. In fine aucune économie n’a été réalisée. Notre génial apparatchik nous a mis dans une situation inextricable de laquelle nous pourrions avoir la capacité de nous extraire avec le temps, si les problématiques psychosociales ne s'y ajoutaient pas. Le sentiment de malaise au travail est devenu le fléau de nos administrations réorganisées de façon pyramidales dans l'urgence et l'approximation. Toutes les collectivités sans exception sont plus ou moins impactées par ce phénomène du mal être, selon leur taille et la nature des territoires concernés. Certes, l'avenir du monde rural reste  l'une de nos préoccupations majeures; il ne peut échapper à la règle à calcul ni au changement managérial lié aux personnalités et aux expériences des hommes et des femmes impliqués de gré ou de force dans cette grande réforme territoriale. Pour autant l'urgence est ailleurs car les questions humaines sont prioritaires. Il importe que nous nous penchions sur les risques psycho-sociaux  dont les causes sont souvent liées aux nouvelles méthodes de management et aux réorganisations administratives qui en découlent. Passer d'un seul coup de  collectivités de bassins de vie 10 à 15000 habitants à des communautés de bassin d'emploi de près de 100000 habitants quand ce n'est pas 200000 , sans réelle préparation, crée immanquablement des changements qu’il faut apprendre à gérer . Pour bon nombre d’agents passer d'une administration familiale et transversale à une administration verticale et cloisonnée n’est pas évident pour tout le monde. La rupture peut être très déstabilisante.

Tout changement doit être accompagné

Evitons de comparer ces nouvelles  administrations à celles  du système soviétique qui cloisonne tout et contrôle tout, mais il n'en reste pas moins  que la spécialisation d'agents, hier polyvalents, peut  être synonyme de perte d'autonomie, d'initiative, de créativité et de responsabilités. Pour peu que le directeur d'un service veuille s’affirmer comme un commissaire du peuple, bafouant de son autorité les compétences  des membres de son équipe, alors la démotivation s’installe. Ipso facto il n’est pas rare de voir des fonctionnaires qualifiés affectés à des tâches en apparence subalternes devenir de simples exécutants.  Ceux qui, hier encore, étaient face au public peuvent se trouver relégués dans un bureau avec leur tablette pour seul contact. D'autres, qui étaient en relation permanente avec leurs élus, ont le sentiment d'avoir reculé hiérarchiquement. Ainsi, sans avoir une tache plus lourde aujourd'hui,  beaucoup  se sentent fatigués, proches du Burn-out . La solution n'est pas simple mais il nous revient de faire en sorte de valoriser leur travail sans les embarrasser avec une cascade de règlements administratifs superfétatoires. Etre à la tête de centaines d'agents, c’est comme diriger un orchestre. Il faut un chef pour le conduire.  Encore faut-il qu'il ait la partition dans la tête et non la tête dans la partition disait Toscanini qui, mieux que quiconque, considérait que tous les éléments de son orchestre avaient leur importance dans ses prestations dès lors qu'ils étaient unis et bien accordés.
Dans le Sud Manche nous avons la chance d’habiter sur un territoire où il fait bon vivre, où les relations avec les services publics sont simples, où les agents étaient motivés, où la diversité est une richesse. Nous avons le devoir de faire en sorte que cette image reste d'actualité.






38 commentaires:

  1. Anonyme4/28/2018

    Flamby, Bouffy, appelez le comme vous voulez, mais il restera dans l'histoire de France qu'il a démolie.

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  3. Anonyme4/28/2018

    Moi, ça ne m'amuse pas de voir ce qui se passe et de se sentir la dernière roue de la brouette. L'orchestre fait des couacs et pour cause.On nous joue du violon

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  4. Anonyme4/28/2018

    Valoriser l'autre n'est pas chose facile quand on ne pense qu'à soi et à son rayonnement. Le rayonnement est plus grand quand il émane de tous les agents d'une collectivité. C'est tellement plus fort et moins éphémère.

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  5. Anonyme4/28/2018

    Tellement vrai mais les dégats collatéraux ne se limitent pas aux agents des communautés fusionnées. Ceux des communes vivent aussi les conséquences de la cacophonie.

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  6. Anonyme4/28/2018

    La communication ne trompe personne. Nous regrettons nos anciennes collectivités.
    Et on s'en souviendra
    Un agent

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  7. Anonyme4/28/2018

    Ce qui vaut pour les agents vaut aussi pour les élus qui n'avaient pas démérité, mais se retrouvent à mis l'écart. Ils vous manquent. Un collègue

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  8. Anonyme4/28/2018

    Il y surtout des agents très compétants qui se voient écartés, parce qu'ils appartenaient à l'ancienne présidence. Et pour les remplacer par qui?
    D'autres ne demandent qu'à être formés et on les laisse aussi au placard.
    C'est du grand n'importe quoi.

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  9. Anonyme4/29/2018

    Merci pour ce texte. Je ne suis pas de votre département mais qui se soucie de l'humain? Ma collectivité est touchée aussi. Aux mêmes causes les mêmes conséquences.Et nos responsables font la sourde oreille, comptant sur le temps. Et surtout pas de bruit avant 2020. Que pouvons nous faire?

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  10. Anonyme4/29/2018

    Quand je pense que cet incapable à vendu 100000 ex de son bouquin...pas mal pour un mec qui n'a jamais bosse de sa vie

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    2. Anonyme4/29/2018

      A con, con et demi ?
      Ce n'est pas parce que l'on peut trouver pire que cela justifie une situation. Cdt

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  11. Anonyme4/29/2018

    Ce texte est à la hauteur des autres,nous ne sommes plus surpris par la qualité.
    Concernant l'agglo MSM Normandie,outre le fait que ce soit une cacophonie dans l'organisation ,entre les élus,mais il y a aussi quelques 430 AGENTS environ.
    Je ne vous apprendrai rien si je vous dis,que nous ne sommes plus au stade de la démotivation,il y a comme un ,les agents sont pris pour des clowns,des pions,et pire encore.
    Il faut diminuer les budgets,diminuer les services de proximité et ce n'est pas grave si le territoire perd des services et ainsi diminuer l'attractivité et le cadre de vie(propos du DGS)alors pourquoi donner de sa personne pour se voir sabrer les projets
    La solution est d'aller voir ailleurs,dans une collectivité ou il fait bon vivre,source de motivation et d'implication
    Pas d'argent!et le 23 JUIN fete à ducey pour les agents!!comment les prendre pour des clowns,l'agglo va depenser un billet de 7 OU 8000 E!!!STOP A L'ARNAQUE

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    1. Anonyme4/29/2018

      Plutôt que de prendre les compétences internes des anciennes EPCI, le nouveau président et son cercle rapproché d'administratifs (carriéristes ? Ils carressaient déjà l'ancien pdt), ont préféré recruter des nouveaux agents et créer des postes de directeurs tous azimuts (15% de plus si j'ai bien suivi sur youtube)... bilan : siphonage des réserves des mieux portants ; vente des bijoux de familles ; ceinture pour les agents ; non remplacement du personnel productif sur les territoires ; etc...
      Pour éviter les augmentations d'impôts qui auraient dû être la conséquence d'une politique du doigt mouillé et des bougies à l'église St Gervais, on supprime l'investissement productif au profit du fonctionnement. Où est passée l'opposition ?

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    2. J'ai publié votre commentaire mais il n'est pas bon de citer les propos d'un agent (que je n'ai pas entendus); il ne fait que d'appliquer la politique que les élus lui commandent suite à une décision démocratique que je respecte bien que je n'y étais pas favorable. Cela dit la loi NOTRe à l'échelle de notre territoire, comme dans bien d'autres, ne pouvait être appliquée sans conséquences. Je les constate sur la vallée de la Sée aussi.

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  12. Anonyme5/02/2018

    Échanges cordiaux cette semaine entre l'ancien député et le président de l'agglo...
    L'analyse et l'alerte du député semblent correctes.
    La réponse dans le journal du président qui consiste à dire que les investissements vont être de 10M€ oublie de signaler que les anciennes EPCI fusionnées cumulaient 20M€ d'investissement sur la situation initiale.
    Les dépenses de fonctionnement ont donc aliéné la moitié de la capacité d'investissement et de remboursement de la dette.
    Sachant que tous vos opposants vous reprochaient un surendettement sur votre ancienne collectivité sans considérer votre capacité d'autofinancement, que pouvez-vous nous dire sur la gestion de vos successeurs ? Sa culture d'entreprise ou des collectivités est-elle suffisante pour piloter son administration et ses choix de gestion/stratégie ? Ou le sujet comme bien d'autres ne l'interesse pas ?
    Votre note semble en effet permettre de rebondir sur la conséquence financière plutôt qu'humaine de la fusion.
    Dsl pour le sujet polémique ; mais au demeurant important.
    Nico

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  13. Il serait malvenu que j'intervienne sur le sujet que vous évoquez. Je rappelle seulement qu'il y a des investissements onéreux qui ont pour conséquences des dépenses de fonctionnement et d'autres qui sont des investissements productifs qui génèrent des emplois et des recettes nouvelles c'est pourquoi on ne peut comparer les endettements des collectivités. Aussi est-il indispensable de réduire les dépenses de fonctionnement ou les investissements qui en génèrent pour se consacrer à l'économie. CQFD

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  14. Anonyme5/02/2018

    Vous avez du mérite de ne pas en dire plus car tous vos détracteurs vont se remettre en selle grâce à la vente des bijoux de famille que vous avez donnés à la communauté d'agglo. Ça va boucher les trous.JCE

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    1. Anonyme5/02/2018

      lol vous avez remarqué ?
      C'est d'ailleurs tellement peu dans leurs gènes que certains petits bras, maire, ne parlent que des dépenses et évitent de parler des recettes d'investissement (taxes, loyers, etc.) et des aides de l'Etat.
      Un ancien élu en vacances

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  15. Anonyme5/02/2018

    Je suis d'accord avec le dernier commentaire votre réponse est un peu mièvre. On a le sentiment que vous ne voulez pas vous confronter avec ceux d'Avranches alors qu'eux ne prennent pas de gants à votre égard. Du courage du courage

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  16. Anonyme5/02/2018

    Malvenu d'évoquer un de vos collègues qui s'affiche avec les entreprises implantées par ses prédécesseurs mais qui n'hésite pas critiquer ces derniers... ? alors qu'il leur doit justement de pouvoir se taper l'affiche dans les journaux et sur son fb... cherchez l'erreur.
    La politique est vraiment crade. Le pire c'est que cela revient à nous prendre tous pour des abrutis.
    Il est loin le temps des promesses sur la méthode lors de certaines réunions ; où on nous vendait la démocratie participative ; le respect des contribuables. Le costume semble donc trop grand.
    Georges

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  17. Anonyme5/02/2018

    Le pire c'est que l'on cherche à démanteler aussi le val de sée. Meme le social qui était reconnu par tout le monde en prend un coup par personnes interposées. Diviser pour régner mais les habitants en font les frais.

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  18. Anonyme5/02/2018

    Monsieur Tréhet, vous souvenez vous de votre article "la vie publique un prix à payer". Vous étiez visionnaire. Cordialement CD

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  19. Anonyme5/03/2018

    Que de dégats. Les 5 communautés faisaient avancer le Sud Manche. Leur union le fait reculer.Qui n'avance pas recule. Tout cela avec ces dégats collatéraux dont vous parlez. Nous pensons la même chose à Sartilly. Voir OF de ce matin

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  20. Anonyme5/03/2018

    Posez vous tous, vous élus, la question suivante ; beaucoup de dépenses en ce moment à Avranches comme la piscine et autres travaux dignes de megalos. Demandez vous si l'argent de l'agglo ne sert pas à faire d'Avranches une ville plus attractive tout en effaçant les villages grands et petits de l'agglo et surtout Brecey et le Val de See.

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    1. Anonyme5/03/2018

      Quel principe de vase communicant serait utilisé ? Culture, tourisme, économie des compétences de l'EPCI ?
      A mon avis il n'y a pas de volonté spécifique à la destruction du pôle du Val de Sée, mais bien une préférence pour Avranches dans les choix stratégiques.
      Sur le côté Mégalo, c'est sûr qu'il vaut mieux pisser sur les mûrs en construisant ou aménageant les equipements de sa commune, plutôt qu'en soutenant les projets économiques de ses collègues.
      On voit bien le sort réservé aux élus qui pourraient faire de l'ombre à son égo démesuré.
      Yves B.

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  21. Anonyme5/03/2018

    Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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    1. Je ne me suis pas permis de laisser ce commentaire. Que cet élu qui l'a écrit m'excuse d'autant plus qu'il était complaisant à mon égard.

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  22. Anonyme5/03/2018

    A lire aussi cette semaine dans la Gazette de la Manche le compte-rendu de conseil municipal de Sartilly-Baie-Bocage intitulé "Haro sur l'Agglo !" dans lequel les élus de la commune nouvelle fustigent le fonctionnement de l'Agglo. Le fonctionnement du nouveau complexe sportif et le report de la maison de santé, quand bien même l'appel d'offres pour sa réalisation a été lancé, en sont malheureusement deux exemples symboliques à bien des égards.

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  23. Anonyme5/03/2018

    Beaucoup d'agents et d'élus semblent très démobilisés. Je vois mal comment cette grande machine pourrait les remettre en selle sans une remise en cause et sans s'appuyer sur des élus expérimentés.

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  24. Anonyme5/03/2018

    Hélas dans la fonction publique on n'avance pas par ses compétences ni par ses qualités d'innovation mais par la volonté des petits chefs souvent sous qualifiés. Former des agents c'est du temps de perdu.

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  25. Anonyme5/04/2018

    Si vous croyez que c'est l'apanage du public je vous recommande d'aller travailler dans un groupe privé. L'histoire du chefaillon carriériste suce-***** qui écrase ses collègues est assez courante.
    Par contre dans les structures privées il y a un vrai patron entouré de gens d'expériences sans lesquels ils iraient dans le mur.

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  26. Anonyme5/04/2018

    Je réagis aux deux derniers commentaires. Il faut voir les choses en face, c'est dans la fonction territoriale que les dépenses en personnel sont les plus importantes. Les maires et pdf n'ont cessé d'embaucher résultat les collectivités sont en sur effectifs.Cest vrai que dans le privé il y aussi des petits chefs sce. ..comme vous dites, sauf que s'il est incompétent un patron preferea toujours celui qui le plus productif. Alors peut être dans les grands groupes, mais étant à la tête d'une PMI je peux vous assurer qu'on ne fonctionne pas comme ça.

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  27. Anonyme5/04/2018

    Çà continue de taper sur le FB de Mr Huet. Acte 2 suite au rapport du cabinet Sémaphore.
    Sur Avranches on essaye de dédouaner le président et maire en accusant l'état des comptes des anciennes comcom et des compétences inexistantes pour les nouveaux besoins.
    Si on considère que le Social est écarté faute de moyens, qu'est ce qui justifier de créer autant de postes de directeurs et d'embaucher autant de nouveaux cadres ?
    Ne paye t-on pas les coûts de fonctionnement de structures type gymnases et autres infrastructures qui n'amènent ni taxes ni recettes nouvelles ?
    Que pouvez vous nous dire sur ce sujet ? Y a-t-il matière à être inquiets pour les années qui viennent ?

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  28. Bien que l'objet de cet article concernait surtout les risques psycho-sociaux liés à la loi NOTRe, on peut aussi considérer que la pénurie financière peut en être aussi une cause. Cela dit je ne souhaite pas tomber dans une polémique en regardant dans le rétroviseur quelles sont les causes de la situation actuelle d'autant que les dépenses d'hier ont été , que je sache, votées à la majorité des élus dans chaque ancienne communauté de communes. De même toutes les créations de postes ont été également votées à la majorité par les élus de la communauté d'agglo. Pour ma part je regarde surtout comment pouvoir contribuer au développement futur de nos territoires. je suis inquiet en effet si le fonctionnement ne nous permet plus d'investir sur un projet de politique économique pour l'avenir car les recettes ne peuvent pas venir seulement de l'impôt. L'économie demande de prendre en compte nos faiblesses actuelles notamment la formation et le départ de notre jeunesse, notre potentiel créateur mais également les besoins de nos entreprises qui préfèrent investir sur la production plutôt que sur l'immobilier. C'était le but de l'écoparc. Aussi, s'il est vendu il est dispensable que la rectte qu'il générera soit investie sur l'économie et non sur le fonctionnement pour boucher les trous. D'où l'intérêt de faire des économies sur le fonctionnement en évitant toutefois que cela ait des conséquences sur le personnel qui n'est pas reponsable de la situation.

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  29. Anonyme6/02/2018

    Je vous indique si vous ne le savez pas que le syndicat des agents de votre communauté a porté plainte pour les problèmes médico-sociaux qui s'accumulent. Ce n'est qu'un début.

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