Tout le monde sauf... la MARINE nationale qui reçoit les S.O.S de navigateurs apeurés et désorientés. Cependant, le naufrage du TITANIC, c'était hier, le 15 avril 1912. Mais beaucoup y pensent pour le paquebot FRANCE qui s'est aventuré sur des océans bien hostiles avec un équipage UMP divisé, trop disparate, peu aguerri et pas assez responsable, peut-être aussi pas assez courageux pour s'opposer aux coups de barre d'un commandant dont le pied marin restait à démontrer. Les connaissances en marine à voile ou en yachting ne suffisent pas pour la gouvernance du FRANCE mis sur les flots par une marraine de talent.
Le FRANCE tangue depuis son départ en 2007, date anniversaire de la décision de créer le TITANIC. On essaie bien de resserrer les équipes pour ne parler que d'une seule voix, y compris dans les plus petits postes de commandement, à terre, dans nos départements, pour franchir les vagues qui s'annoncent pour 2012 et préparer 2014, mais les matelots renâclent à se mettre en ligne pour qu'aucune tête ne dépasse. Ce n'est pas leur silence qui change les choses.
L'ambiance est au sauve qui peut et au chacun pour soi. Les passagers quittent le navire, dans la plus grande confusion, sur de petites embarcations mises à la mer sans drapeau. La cacophonie est à son comble dans le haut état major où les quartier-maîtres n'ont pas la même vision du commandement.
De toute manière, l'heure n'est plus à la réflexion sur les valeurs et les forces du navire. Deux idées s'opposent en coulisses: le laisser surfer sur les déferlantes de l'ISLAM et de ses conséquences au risque qu'il dérive vers des îles désertes ou bien faire appel, sans complexes à la MARINE nationale... vrai dilemme devant l'urgence! L'iceberg DSK est trop près pour éviter le naufrage.
Il y aura certainement des rescapés, ceux notamment qui auront su prendre les bonnes chaloupes à temps. Mais pour ceux qui resteront et auront eu la chance de s'en sortir, le retour sera long. Les hivers seront rudes et les déserts bien longs car le FRANCE construit par l'UMP n'est pas prêt de se remettre à l'eau. Par sa modernité, il fût un rêve. Par sa gouvernance à vue, une grande illusion.
Bravo c'est tout à fait celà !
RépondreSupprimer