Etrange la
position éthique de la France en matière de recherche de minéraux lourds dans
l'organisme; aurait-elle peur d’un nouveau scandale médical? Pourquoi ne
peut-elle pas s’appliquer de la même manière qu’au Canada, ou aux Etats-unis? Pourquoi ne reconnaît-elle pas la
méthode par chélation orale avec l'EDTA, le
traitement contre les métaux lourds et le calcium excédentaire développé en
Allemagne?
Encore un coup du
principe de précaution ?
Si j'en crois mes
sources, ça consiste à extraire des minéraux lourds grâce à leur combinaison
avec certains composés chimiques, tels des protéines, dits agents chélateurs
dont la charge électrique négative leur permet de s'associer au métal chargé
positivement. Il en est ainsi du mercure qui, grâce à l'acide éthylènediamine -
tetraacétique peut être éliminé dans les urines. La France n'adhère pas à cette
technique développée par le Le docteur Dietrich Klinghardt, une sommité
mondialement reconnue en médecine. Il est le fondateur de l'American Academy
of Neural Therapy, et entre
autre directeur médical de l'Institute of Neurobiology. Au lieu de ça, sous prétexte que les reins ont
un travail supplémentaire à fournir pour excréter ce produit non naturel et
peuvent s'en trouver affectés on écarte cette technique sans approfondir
le sujet. Pourtant, choisir entre
un risque éventuel et les conséquences d'une intoxication au mercure mérite
réflexion non ? d'autant que ce métal lourd est considéré par l'OMS comme
l'un des dix produits chimiques extrêmement préoccupants pour la santé
publique. Pour peu qu'une femme enceinte ait des amalgames dentaires au mercure
(plombage gris) depuis des années, elle en fait profiter le fœtus. Ce produit
toxique se niche dans des endroits sensibles comme le cerveau et les gaines de
myéline entraînant à la longue des problèmes neurotoxiques se traduisant par
divers symptômes et déficiences, troubles de la mémoire, problèmes musculaires.
Ces symptômes peuvent apparaître des années plus tard. Sans parler d’autres
apports comme le lait maternel, les poissons et des facteurs extérieurs (bris
d'ampoules fluo compactes par exemple) etc.
Une mère de
famille risque d'en subir des conséquences judiciaires.
C'est ainsi
qu’une mère de famille constata progressivement, à l'approche de
l'adolescence, des troubles divers chez ses enfants. L'un d'eux en arrive même
à devoir subir des absences scolaires importantes pour des raisons médicales,
en apparence inexplicables par le médecin de famille qui oriente l'enfant vers l'hôpital le plus proche. Les
analyses de sang ne donnant rien on abandonne les
investigations pensant qu’il s’agit peut-être d'une somatisation engendrée par
une mère hyperprotectrice et, pourquoi pas, légèrement hypochondriaque. C'est du moins ce qu'imaginait probablement l'assistante sociale de son établissement qui fit un signalement aux services sociaux du département concerné. Toujours est-il que cette
mère n'a jamais baissé les bras; réfutant le diagnostic un peu trop hâtif des French
doctors elle se rend en
Allemagne pour y faire pratiquer des analyses par chélation au prix de dépenses
coûteuses et non remboursées.
Normal puisque ce procédé n’est pas reconnu en France. Contre toute
attente, les résultats d'un produit-EDTA dûment autorisée par l'Office de la
Santé Fédéral de Berlin pour le traitement des maladies vasculaires lui
donnèrent raison, contredisant les jugements subjectifs de ses détracteurs
français qui confirment dans un rapport que le mal est sans doute d’origine psychosomatique.
Passons. Les médecins Allemands prescrivent à l’enfant une thérapie adaptée qui
retrouve rapidement sa motricité et lui permet de retrouver ses camarades de classe. Pour autant, le signalement ayant fait son effet, la maman doit maintenant démontrer à la
justice française, preuve à l'appui, qu'il n'y a pas eu de maltraitance, que
sa fille ne ment pas pour la défendre et qu'elle a fait le bon choix en traversant
le Rhin pour faire soigner son enfant. Pourquoi avoir sollicité la justice qui a tant d'affaires sérieuses à traiter en matière d'enfance? Peut être est-ce un mal pour un bien qui peut faire avancer les choses...
La France, on le
sait, est plus maligne que les autres. N’empêche qu’elle a mis sous le boisseau
pendant des années les maladies liées au saturnisme causé par le plomb, sans
parler du scandale lié à l’amiante, et celle du médiator. Combien de temps
aura-t-il fallu avant qu’un médecin français mette en lumière la maladie de
Lyme avant d’envoyer son patient se faire traiter à l’étranger puisqu’en France
on ne prenait pas ce parasite au sérieux. Et la liste est longue. On pense aujourd'hui que la fibromyalgie pourrait aussi être due aux métaux lourds. On pense mais on n'analyse pas. Alors, plutôt
que de nous rabâcher les oreilles avec des sujets mineurs et d'obliger à administrer 11 vaccins à l'aluminium aux bébés nés en 2018, il serait
urgent qu’un ministre de la santé donne un coup de pied dans la fourmilière
pour faire bouger les lignes. Allez, Madame Buzyn faites preuve d’audace et de
courage c’est bien ce que clame votre patron non ?.
Dernières nouvelles.
Par jugement du 31 octobre 2017, le juge des enfants décide:
"Aucune enquête n'est actuellement en cours sur le plan pénal et il n'appartient pas au juge des enfants d'ordonner d'éventuels examens médico-légaux en matière d'assistance éducative" ... réponse à la représentante de l'ASE qui, vu la tournure des évènements, voulait une expertise pour détrrminer si la prise de DMSA était opportune.
Réponse du juge: "surtout il convient de relever que les problèmes de santé et l'absentéisme de " J......." étaient antérieurs à la prise deDMSA et ce n'est qu'après avoir constaté l'absence de résultat de la médecins dite "traditionnelle que Mme ......... s'est adressée à un médecin allemand.... Le comportement de "J......" est désormais scolarisée très régulièrement et son comportement ne pose aucune difficulté au sein de son établissement...
"Il convient ainsi de prononcer un non lieu à assistance éducative. Notre procedure d'assistance éducative sera également cloturée".
Une décision qui met un point final à cette affaire. Tout est bien qui finit bien. Mais tout de même....
Dernières nouvelles.
Par jugement du 31 octobre 2017, le juge des enfants décide:
"Aucune enquête n'est actuellement en cours sur le plan pénal et il n'appartient pas au juge des enfants d'ordonner d'éventuels examens médico-légaux en matière d'assistance éducative" ... réponse à la représentante de l'ASE qui, vu la tournure des évènements, voulait une expertise pour détrrminer si la prise de DMSA était opportune.
Réponse du juge: "surtout il convient de relever que les problèmes de santé et l'absentéisme de " J......." étaient antérieurs à la prise deDMSA et ce n'est qu'après avoir constaté l'absence de résultat de la médecins dite "traditionnelle que Mme ......... s'est adressée à un médecin allemand.... Le comportement de "J......" est désormais scolarisée très régulièrement et son comportement ne pose aucune difficulté au sein de son établissement...
"Il convient ainsi de prononcer un non lieu à assistance éducative. Notre procedure d'assistance éducative sera également cloturée".
Une décision qui met un point final à cette affaire. Tout est bien qui finit bien. Mais tout de même....
Merci à vous
RépondreSupprimerVoici quelques années l'hôpital d'Orléans a du abandonner ce type d'analyse qui se fait désormais dans la semi clandestinité. L'ordre des médecins parle de pseudo science. Serment d' Hippocrate ou serment d'hypocrite?
RépondreSupprimerIl n'empêche qu'une mère de famille se doit de mettre tout en oeuvre pour la santé d'un enfant. Cette poursuite judiciaire est surprenante
RépondreSupprimerComment peut-on chercher des poux dans la tête à une mère qui s'inquiète pour ses enfants. Que ce soit dans le social, en politique ou ailleurs que ne ferait-on pas pour avoir raison? Que de poursuites judiciaires inutiles.jcE
RépondreSupprimerOn appelle ça la chasse aux sorcières...
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