La
présence de Bertrand Cantat à ce festival manchois crée le binz dans un département en plein débat sur la question de la violence faite aux femmes. Et
pour cause, inculpé à Vilnius (Lithuanie) le 16 mars 2004 pour avoir porté
des coups mortels à sa compagne Marie Trintigant,
il est finalement extradé vers la France. Condamné
à huit ans de prison, Incarcéré à la prison
de Muret il sort en 2007 après
avoir purgé près de la moitié de sa peine. Il a eu du pot, car la justice
Lithuanienne aurait été moins complaisante que la nôtre. L’ex leader du groupe Noir Désir revient au sommet de l'affiche avec sa nouvelle tournée et son premier album solo Amor Fati dont le lancement, le 1er décembre avait été marqué par de nouvelles accusations de comportement
violent. Près d’une quarantaine de dates et participations à des festivals sont
programmées d’ici à l’été dans le cadre de cette tournée. Reste que sa participation pose
inévitablement un certain nombre de questions qui remettent en
cause sa participation à des festivals. Jusqu’à
présent, un seul concert du chanteur a été annulé, celui prévu à la fin de
juillet au festival Les Escales de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), dont le
maire socialiste, David Samzun, avait exprimé sa « désapprobation » dans une lettre aux organisateurs. Chez nous, une pétition lancée à l’initiative de Valérie Dontenwille qui se présente comme
« une citoyenne féministe », a réuni plus de 70 000 signatures
dans laquelle elle réclame la déprogrammation du chanteur au festival Les
Papillons de nuit dans la Manche, à Saint Laurent de Cuves, prétextant : « qu’en mettant en
lumière Bertrand Cantat vous banalisez les violences faites aux femmes et vous
les cautionnez ». De son côté, le département de
la Manche a décidé de ne pas s'associer à ce prochain festival, en témoigne ce communiqué de presse envoyé aux élus.
Le communiqué de presse
"Aucune
complaisance ne nous anime envers l’acte commis par Monsieur Bertand Cantat il
y a 14 ans, acte qui nous a profondément choqués comme tout un chacun. En ces
Journées des droits des femmes, nous nous associons totalement à la lutte
contre les violences qui leur sont faites, dans le monde comme dans notre pays,
et nous nous reconnaissons pleinement dans ce que notre Président du Conseil
départemental appelle « les opérations de sensibilisation et d’éducation
pour tenter d’arrêter le fléau des violences faites aux femmes ». Bravo à ce
Conseil départemental pour son engagement auprès des femmes. Pour autant, beaucoup contestent qu’une institution de la République, comme le Conseil départemental, "puisse agir comme si la Justice n’était pas le fondement de base de la
démocratie et de la République. Que l’on approuve ou non la peine qui a été
infligée à Monsieur Bertrand Cantat, que l’on approuve ou non sa libération
anticipée, la justice s’est prononcée et toute institution de la République
doit respecter l’autorité judiciaire, pilier de notre démocratie. Qu’on le
veuille ou non, en ayant été jugé et en ayant purgé sa peine, Monsieur Bertrand
Cantat est redevenu un citoyen parmi les autres". C'est une vue des choses mais le président du département considère qu'il ne peut tenir deux langages. Loin de lui l'idée de s’immiscer dans la programmation artistique d’un
grand festival et et de céder à la vox populi. En se retirant, il affirme seulement sa politique qu'il défend au cours des réunions qu'il organise à l'occasion de la journée nationale de la femme. En retirant son aide de 35 000 euros qui ne représente qu’une
goutte d’eau dans le budget du festival, il sait aussi qu'il ne le met pas en péril.. Les sources de financement du festival
proviennent à 85% de ses ressources propres (recettes de billetterie,
merchandising, ventes bar et restauration), 13% du sponsoring et mécénat
d’environ 150 entreprises partenaires et 2% des aides publiques comme l’indique l’association sur son site. Les programmateurs ont fait un choix qu'ils sont capables d'assumer seuls. Bertrand Cantat, lui, a assumé sa peine c'est un fait. Mais derrière l'artiste il y a un homme dons nous connaissons la violence. Après le suicide de Kristina Rady, son ex
épouse, dont le dernier courrier révélait les violences conjugales, le voilà porté à nouveau au sommet de l'affiche par une main-courante déposée
par une femme artiste de 45 ans qui se plaint d'être l'objet de son
"comportement menaçant et violent psychologiquement". Tout cela,le département ne peut s' en soucier comme d’une guigne même si les organisateurs estiment « que les institutions politiques, quelles
qu’elles soient, n’ont pas de droit d’ingérence dans ses choix
artistiques ». En fait, nous ne
sommes pas loin de nous trouver devant une situation morale un peu
analogue à celle que pose l'oeuvre de Céline. Entre le brillant écrivain
de « voyage au bout de la nuit « et
celui des pamphlets antisémites comme « Bagatelle pour un
massacre » publié en 1937 prélude de la solution finale, on est un peu
dans le même cas. Et pourtant, Gallimard qui s’apprêtait à les rééditer a
finalement renoncé en raison de la polémique qu’elle avait suscitée.
En ces Journées des droits des femmes, le département a la volonté de s'associer totalement et sincèrement à la lutte contre les violences faites aux femmes. En France, nous n'avons pas trop l'habitude de nous révolter pour les autres mais nous ne pouvons plus ignorer qu'une femme meurt tous les 3 jours pour violence. Le 14 aout 2017, la Tunisie a voté une loi historique contre les violences faites aux femmes. Elle est le 19ème pays seulement à lutter contre ce fléau. La France est au coeur de ce grand débat sur l'égalité des femmes, les violences et le harcèlement qui leur est fait sur la voie publique et ailleurs. Le gouvernement vient de décider d'y mettre un terme en verbalisant les auteurs de ce harcèlement qu'il soit physique ou verbal. Nous pouvons comprendre que le département de la Manche ait été tenté d'appuyer cette politique en retirant son soutien au festival des Papillons de Nuit pour ne pas se mettre en contradiction avec ses propres orientations caractérisées par la création d'un poste de délégué à l'égalité des femmes occupé par Chantal Barjol, et son implication dans le développement d'un plan violence sur son territoire. La polémique qui s’agite sur la présence de Cantat au festival des Papillons de nuit met tout de même en exergue des questions que notre démocratie ne semble plus maîtriser : La puissance des réseaux sociaux. La voix du peuple était jusqu'ici entendue et défendue par ses représentants. La voilà aujourd'hui qui s'exprime sur la toile où chacun s'écharpe avec ses propres arguments sans désir de dialogue . En attendant, la polémique contribue à faire la com d'un festival qui a le mérite de participer à l'attractivité de notre territoire. Son président, nous le savons, est un homme de bien. Avec son comité, il a fait un choix artistique qui lui vaudra certainement un nouveau succès. Le département en a fait un autre ... un choix politique qui se refuse à nier la violence que Bertrand Cantat représente encore aujourd'hui bien qu'il ait purgé sa peine. Et respectons aussi le choix de ceux qui restent associés à la peine des parents et pensent à Marie.
En ces Journées des droits des femmes, le département a la volonté de s'associer totalement et sincèrement à la lutte contre les violences faites aux femmes. En France, nous n'avons pas trop l'habitude de nous révolter pour les autres mais nous ne pouvons plus ignorer qu'une femme meurt tous les 3 jours pour violence. Le 14 aout 2017, la Tunisie a voté une loi historique contre les violences faites aux femmes. Elle est le 19ème pays seulement à lutter contre ce fléau. La France est au coeur de ce grand débat sur l'égalité des femmes, les violences et le harcèlement qui leur est fait sur la voie publique et ailleurs. Le gouvernement vient de décider d'y mettre un terme en verbalisant les auteurs de ce harcèlement qu'il soit physique ou verbal. Nous pouvons comprendre que le département de la Manche ait été tenté d'appuyer cette politique en retirant son soutien au festival des Papillons de Nuit pour ne pas se mettre en contradiction avec ses propres orientations caractérisées par la création d'un poste de délégué à l'égalité des femmes occupé par Chantal Barjol, et son implication dans le développement d'un plan violence sur son territoire. La polémique qui s’agite sur la présence de Cantat au festival des Papillons de nuit met tout de même en exergue des questions que notre démocratie ne semble plus maîtriser : La puissance des réseaux sociaux. La voix du peuple était jusqu'ici entendue et défendue par ses représentants. La voilà aujourd'hui qui s'exprime sur la toile où chacun s'écharpe avec ses propres arguments sans désir de dialogue . En attendant, la polémique contribue à faire la com d'un festival qui a le mérite de participer à l'attractivité de notre territoire. Son président, nous le savons, est un homme de bien. Avec son comité, il a fait un choix artistique qui lui vaudra certainement un nouveau succès. Le département en a fait un autre ... un choix politique qui se refuse à nier la violence que Bertrand Cantat représente encore aujourd'hui bien qu'il ait purgé sa peine. Et respectons aussi le choix de ceux qui restent associés à la peine des parents et pensent à Marie.
Il devient difficile de s'écouter et de se comprendre. Pourquoi une telle polémique? On reproche souvent aux élus d'avoir un double langage. Ce n'est pas le cas ici. L'autonomie de décision pour un organisateut s'obtient par son autonomie financière. Cette autonomie à été obtenue par le travail et la qualité des concerts... Très bien
RépondreSupprimerLes élus ont un autre rôle qu'ils doivent aussi accomplir en toute indépendance et sans hypocrisie. Les choses sont bien quand chacun reste à sa place. Un élu
Dans la Manche on dit chacun son métier et les vaches seront bien gardées
RépondreSupprimerVous avez raison Bernard, en politique il faut savoir prendre des positions et les tenir sans avoir le cul entre deux chaises. A la longue ceux qui veulent plaire et jouer sur tous les tableaux se dévoilent. C'est pas toujours facile. Ça crée des contradictions mais la démocratie s'en trouve renforcée par sa crédibiltė. PHILIPPE
RépondreSupprimerBonjour Monsieur trehet,
RépondreSupprimerPlusieurs petites remarques :
1./tout comme moi vous utilisez la puissance des réseaux sociaux au travers de ce blog, vous en êtes donc également acteur.
2./ Nous parlons du même conseil départemental qui a accueilli à bras ouvert des hommes comme un certain L THuram, un certain JL Lahaye. (Je ne commenterai pas plus),
3./ vous évoquez à la fin de l'article le président de l'association, Patrice, comme entend un homme de bien, j'espère que vous souhaitiez écrire un "homme bien" en lieu et place. J'assimile plutôt, ou trop facilement, l'homme de biens, à quelques élus opportunistes de notre "beau département". Mais là n'est pas le sujet.
bien à vous,
Cette article met en comparaison l'histoire de Bertrand Cantat à l'histoire d'un antisémite en passant par le droit des femmes.
RépondreSupprimerVoila comment vider de son sens toute forme critique d'une réalité toute autre qu'est l'alcool, la drogue et la jalousie.
Alors même que l'on sait pertinemment que ces drames existe même lorsqu'il ne sont pas médiatisés, quand est-ce que l'on commencera à mettre en perspective notre société et les problèmes rencontrés par les humains, car pour rappel on ne né pas quelqu'un. On le devient.
Et ne l’oublions pas c'est nos parents et l'école, puis nos amis et nos ennemis, puis notre travail et nos dirigeants et enfin les médias (la société donc) qui font de nous ce que nous sommes.
Pour le président C'est en effet dans mon esprit un homme bien, un homme honnête si vous préférez. Pour les deux noms cités, je n'ai pas les références ni l'année qu'ils ont été invités.Pour ma part, je suis président de la commission solidarités depuis 2015 année de la mise en place de notre politique en faveur de l'égalité femme-homme.
RépondreSupprimerLa personne à laquelle vous répondez évoque votre passage sur Céline. Elle n'a pas compris que la valeur culturelle des pamphlets de Céline ne peut en effacer le contenu. La morale a priorité sur la culture. L'antisémitisme à été porteur de millions de morts.
SupprimerJe ne suis pas sure d'avoir compris votre analyse de mon post. Cependant le but n'était pas de mettre en avant une « valeur culturelle » mais de montrer le point de comparaison qui a été fait.
SupprimerCependant je crois comprendre que vous voulez parler des pratiques des arts et des lettres en utilisant le terme « valeur culturelle », sachez que chacun en France est libre de choisir les siennes. Si vous vous positionnez sur cette définition du mot culture alors vous indiquez qu’il faut faire prévaloir un dictat sur les arts et les lettres.
Dans ce cas, je trouve cela extrêmement dangereux. Le nazisme en est pour le coup un bon exemple. En comparaison et sauf erreur, les « valeurs culturelle » de l’œuvre de B. Cantat n’ont jamais fait l’apologie de violence envers les femmes.
La polémique ayant évolué avec les arguments des uns et des autres, pensez-vous que la loi doit interdire tout financement public direct ou indirect d’une personne physique ou morale ayant enfreint la législation en vigueur même après avoir purgé sa peine ?
Valeur culturelle pour le livre de Céline, je parlais de la qualité des écrits.. mais la teneur de ces pamphlets antisémites ne doivent pas être publiés. La morale doit avoir priorité sur la qualité de l'écriture ou de l'artiste. Vous pouvezl'interpréter comme une censure culturelle. Ce n'est pas mon avis
SupprimerVous ne publiez que ce qui vous arrange. Ma réaction de ce matin à été bizarrement supprimée, pourtant ça ne vous ressemble pas
RépondreSupprimerun lecteur
Excusez moi, j'ai du faire une erreur. Remettez votre réponse, je n'ai aucune raison de ne pas la mettre si elle ne s'attaque pas nommément à une personne.
RépondreSupprimerRenseignements pris, IL La Haye à été invité au Kissing club privé de Saint Jean La Rivière (Barneville Carteret) et L.Thuram à Cherbourg en 2013. Ces invitations n'ont pas impliqué le Conseil départemental financièrement.
RépondreSupprimerCet article fait bien l'équilibre entre les arguments des pour et des contre.. thèse et antithèse. Le festival aura bien lieu. Chacun décidera en son âme et conscience d'y aller ou non un point C'est tout.
RépondreSupprimeret la musique dans tout ca souvenez vous noir desir . beaucoup d anti canta on fredonne des chansons de ce groupe mythique . Pour d autres affaires on entends il a payé sa dette et bien oui bertrand canta a payé sa dette : je ne cautionne pas ce qu il a fait mais laissez le chanter
RépondreSupprimerC'est au public de faire son choix, et non au département. Et les bénévoles qu'en pensent ils?
RépondreSupprimerIl n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Personne n'est contre le fait que Bertrand Cantat puisse chanter y compris à Saint Laurent de Cuves. Les organisateurs sont libres de leur programmation comme l'est le département d'apporter une aide ou non à un festival qui se suffit à lui même. Ses réserves sont importantes. Les contribuables par contre ne sont pas des pompes à fric et les élus doivent être logiques dans leur politique. Arrêtons l'hypocrisie. Si la lutte contre la violence est engagée il ne faut pas se contredire. Moi, je préfère que ces 35000 € soient attribués à l'éducation. Les bénévoles seront là sauf ceux qui n'apprécient pas que les organisateurs n'aient pas défendu l'un d'entre eux qui a reçu une gifle alors qu'il défendait une jeune fille qui était agressée. M.G
RépondreSupprimerMoi je pense que le président n'a pas suffisamment expliqué sa position qui a été prise comme une censure alors qu'elle n'avait pas ce but. Cela a divisé aussi ses élus de droite comme de gauche bien mal à l'aise pour certains. Un élu d'une communauté voisine.
RépondreSupprimerJe suis bénévole au festival des papillons de nuit et électeur sur le canton d’isigny le Buat. Félicitations pour le courageux Maire de St Laurent de Cuves pour son soutien au festival des papillons de nuit ainsi que le message de Mme Marie Helene Fillatre pour soutenir l’action du festival et de ses bénévoles. Et vous M Trehet ??? la participation de M Cantat selon vous et le département est inacceptable car il a tué son épouse. N’a t’il pas payé sa dette ?? Alors décision du département, le retrait de la subvention de 34000 euros (communication et les achats de billets !!) mais le comble, le même jour de l’annonce de retrait de la subvention du département dans Ouest France vous êtes en photo pour La journée de la femme et la participation de Jacqueline Sauvage et de ses avocats, mais dit donc n’a-t-elle pas tué son mari ?? J’espère que le département n’a pas financé sa participation ??? Franchement les 1500 bénévoles des papillons de nuit apprécieront la blague ! Un électeur dégoûté Pour ne pas dire écœuré
RépondreSupprimerJe suis aussi du canton d'isigny le buat. Je suis atterré qu'un habitant de ma commune puisse comparer l'affaire Cantat et le cas de Jacquline Sauvage. Je m'excuse pour mon concitoyen qui de plus n'a pas toute l'histoire de ce festival.
SupprimerComment peut-on citer ainsi Jacqueline Sauvage qui, a effectivement tuė son mari mais après un long calvaire de 47 ans.
Supprimer47 ans d'humiliations, de traitements inadmissibles et de viols répétés... Comment a-t-elle pu tenir ? De surcroît elle a écopé de 10 ans de prison ferme. Mais C'est vrai, ce n'est ni un homme ni une artiste...Tout cela est lamentable.
Je vous félicite d'avoir fait venir dans la Manche les deux avocates de Jacqueline Sauvage. L'aveuglement de cet habitant d'isigny le Buat est attristant.FM
SupprimerPolémique stérile et inutile, j'espère au moins que les élus départementaux qui ont décidé de censurer Cantat, ont au quotidien un comportement irréprochable vis à vis des hommes et des femmes qu'ils cotoyent... pas de remarques, ni gestes déplacés, machisme et sexisme compris...
RépondreSupprimerFélicitations pour votre bénévolat au festival de Saint Laurent de Cuves que j'ai soutenu à ses débuts lorsque j'étais président de la commission culture. J'ai largement poussé à son financement. Pour le reste je ne souhaite pas polémiquer sur vos arguments. Aujourd'hui je suis responsable de la politique sociale. Je suis votre projet de MARPA et j'espère que le projet des maraîchers sera créé à Isigny pour créer des emplois. Cela pourra peut être atténuer votre courroux.
RépondreSupprimerJe comprends mieux pourquoi beaucoup d'élus ont un double langage. Moi je préfère ceux qui disent ce qu'ils pensent. On vous apprécie pour cela monsieur Trehet. Continuez . Il vaut mieux être que paraître.YL.
RépondreSupprimerM Trehet après la censure de M Cantat, vous censurez les réponses qui ne vous conviennent pas! C’est minable ��
RépondreSupprimerQuand un texte anonyme porte atteinte à une personne nommément citée, il ne peut être publié.
SupprimerLe gouvernement va créer des tribunaux sans citoyens. J'étais contre mais quand je lis certaines réponses ici ou là comme celle de cet individu qui compare Cantat à Jacqueline Sauvage je me dis que ces auteurs ne peuvent juger les autres.
RépondreSupprimer70000 signataires et combien d'entre elles/eux connaissent le festival Les Papillons de nuit ? combien d'entre elles/eux savent situer sur une carte le village de Saint Laurent de Cuves ?
RépondreSupprimercombien d'entre elles/eux connaissent les textes engagés de bertrant cantat?
La justice est passée sur cet acte intolérable... stop aux censeuses et censeurs qui grace aux sites de pétitions faciles participent au blocage de tout et pour tout.
bien à l’image de cette vieille France ! A quand la loi qui impose la retraite des élus des 65 ans ��
RépondreSupprimerFaites mieux que lui et que des commentaires aussi lamentables (discrimination par l'âge illégale en France). Il a son bilan pour lui. Et vous ? Vous pouvez nous sortir votre bilan économique ; votre valeur ajoutée dans cette société ou dans le territoire ?
SupprimerEt on comparera votre capacité intellectuelle en passant. Nous risquons de rire.
Un vieux de 40 ans... (pour mémoire la nouvelle génération estime que vous êtes vieux dès 30 ans)
Certains ne brillent pas par leur intelligence ici.
SupprimerJe peux vous trouver des vieux de 45 ans et des jeunes de 80. Tout dépend ce que vous entendez par "vieux". Faire 30 pompes le matin ? Avoir 15 idées innovantes à l'heure ? Assumer les réunions de travail jusqu'à 1h du mat 3 fois par semaine ? Être sur le pont dès 5h du matin ?
Les gogols qui stigmatisent les vieux feraient bien de se renseigner ; voir venir nous faire une démonstration de leur jeunesse. Car leur commentaires sont plutôt rétrogrades et dégradants.
Nico
M. Trehet vous avez une fonction sur votre blog qui vous permet d'identifier le pâté de maison d'origine des posts par leurs IP. Vous devriez les regarder pour vous faire plaisir..
SupprimerCdt
Pourquoi publier un tel commentaire aussi petit. C'est bien ce que vous avez dit quand on n'a pas d'arguments on s'écharpe. Que ce morveux vienne voir Brécey
RépondreSupprimerLe bashing val de Sée au travers de celui qui l'a transformé mérite notre mépris le plus total. Cet homme de culture à une ouverture d'esprit que beaucoup devraient lui envier. Mais il est clair qu'il peut fatiguer à force d'avoir 15 années d'avance et de dire ce qu'il pense. Pour moi qui ait suivi ses nombreuses actions culturelles, expositions, ouvrages d'art, concerts avec Lavilliers à Genêts, je n'ai jamais vu de censure. Son propos peut donc être écouté pour Cantat.
RépondreSupprimerC'est amusant de voir que depuis la nouvelle équipe dans le territoire il y a plus d'un an on voit cet argument de l'âge polluer votre blog.
RépondreSupprimerPerso je ne me suis jamais autant enrichi qu'avec des gens d'expérience ; encore faut-il avoir une capacité pour...
Oui ça se lit et ça s'entend avec des mots qui reviennent souvent prof, père, chef d'établissement, patron.. une moquerie qui témoigne d'un souhait de s'affranchir du savoir et de l'expérience quand la réussite la fait trop voyante. AB
RépondreSupprimerJe suis une de vos anciennes élèves, monsieur Trehet. Peu m'importe si Cantat, ce violent garçon, vient à Saint Laurent de Cuves, mais j'apprécie votre action pour combattre la violence faite aux femmes. Je me souviens de votre intervention déjà à l'époque où j'étais à Brécey contre un élève qui s'était distingué auprès d'une jeune surveillante. Je suis aujourd'hui dans le monde artistique. Cantat y est connu.
RépondreSupprimerMerci de votre commentaire. L'évènement que vous évoquez remonte à plus d'une vingtaine d'années. Cela dit la politique sociale que je mène au Conseil départemental se confirmera aussi au sein du festival où les services sociaux seront présents cette année comme les années passées.
RépondreSupprimerC'EST UNE AFFAIRE CLASSÉE. AU MOINS ELLE AURA ANIMÉ ET FAIT PARLER DU DÉPARTEMENT. CELA NOUS AURA FAIT CONSTATÉ LA DIFFICULTÉ DE SE COMPRENDRE QUAND LA PASSION S'EN MÊLE ET PARFOIS LA MÉCHANCETÉ GRATUITE ET ANONYME. LE COURAGE N'EST PAS LE FORT DE TOUT LE MONDE. BRAVO POUR LE VÔTRE ET CONTINUEZ VOTRE COMBAT POUR LA VÉRITÉ ET LE PROGRÈS.
RépondreSupprimer