Oui si nous savons innover.
La France serait
-elle un pays obèse au point de laisser partir son potentiel créateur à
l'étranger. La France serait-elle sous le pouvoir des banques qui exigent
d'atteindre 40% de fonds propres pour soutenir des projets novateurs sur ses
territoires? L'administration est-elle si puissante que les élus trop
préoccupés à entretenir leur image n'ont plus le courage de prendre des risques?
De nombreux exemples me conduisent à m'interroger sur l'avenir de la France
dans de telles conditions car le nombre d'obstacles que nous rencontrons pour
progresser en décourageraient plus d'un. En fait c'est toute l'innovation qui
est en rade et cela ne concerne pas seulement l'économie aux mains de banques timorées. Prenons l’exemple
de l’éducation confisquée par une hiérarchie sans idée qui prend ses ordres rue
de Grenelle où des inspecteurs cacochymes ressassent les moyens de concrétiser
leur idéologie égalitariste qui embouteille aujourd'hui les universités.
L'innovation éducative est absente, condamnée à s'inscrire dans un moule qui ne
permet pas de s'adapter aux individualités alors que chaque enfant est une personnalité
qui doit être prise en compte. Pour y parvenir il y a un moyen :
l'autonomie des établissements. Quant on aura enfin compris qu’il est
nécessaire de leur laisser la bride sur le cou pour voir éclore une vraie
innovation pédagogique dont les objectifs sont de donner aux élèves les
moyens de se réaliser en exploitant les différentes facettes de leur
intelligence : intellectuelle, physique, manuelle ou relationnelle
et non de les formater, on aura alors fait un grand pas pour cette jeunesse qui constitue le potentiel créateur de la France. Mais voici le sauveur Blanquer, un bon ministre de l’éducation nationale au demeurant qui a des idées. Il a décidé de
mettre l’ordre dans tout ça..oui oui.. Son truc : réformer le baccalauréat
pour "redonner du sens"
à cet examen explique t’il dans les colonnes du Parisien publié lundi 12/11.
Merci on y avait pas pensé avant lui.. Comme à chaque fois, ça commence par la
consultation de « tous les acteurs ». Vous savez ce terme passe
partout pour désigner les « factotum », les lampistes « de la
communauté éducative . Elle doit s'achever en février. " On se
donne du temps", souligne le ministre. Il en faut tant que ça depuis que l’on sait que le baccalauréat
est à repenser ? Le baccalauréat "doit reprendre plus de sens", explique t’il estimant qu'il faut
"en finir avec le bachotage". Et d’ajouter :" Notre fil
directeur est surtout d'aboutir à quatre matières pour les épreuves finales du
bac", reconnaissant que " la
disparition des filières L, S et ES est une option, mais parmi bien d'autres". "Le bac doit à la fois certifier
une qualité atteinte à la fin de l'enseignement secondaire, mais aussi aider à
réussir par la suite", assure-t-il. "Qu'il soit un tremplin vers le
supérieur pour les élèves."
Vers le supérieur, tout est dit mais la vraie question est ailleurs: tous les bacs donnent-ils les même capacités pour entrer à l'université? Par ailleurs, rien sur le décrochage scolaire avec le chômage à la
clé et l’errance anti-chambre de la délinquance. Pour ça il faut un vrai programme
et non de vagues idées.
Avec Flessel ça va faire mouche
Et
pour ça, le ministre se tourne vers les élus en les impliquant sur le temps périscolaire, en annonçant
fièrement la création d'un plan mercredi." A mes yeux, l'important est
plutôt de faire en sorte que les enfants fassent quelque chose d'intelligent et
d'utile sur le temps périscolaire. « C'est pourquoi je prépare un plan
mercredi , en lien avec les ministres de la Culture et des Sports, Françoise
Nyssen et Laura Flessel." L'objectif
est de venir en appui des collectivités pour que tous les mercredis de France
soient riches en activités culturelles et sportives de qualité". Comme il est gentil ce ministre, mais ce n'est pas une innovation pour bien des collectivités qui aujourd'hui vont avoir à se demander avec quels moyens puisque les emplois aidés sont supprimés. Des bénévoles
encore et encore, sans doute; c’est tellement plus simple ! Pour
gagner la partie, Blanquer sort aussi des oukazes pour que " l'autorité
soit rétablie dans le système scolaire"; il a "demandé à tous les chefs d'établissement d'organiser des conseils de
discipline chaque fois que c'est nécessaire, car ce n'était pas
systématiquement fait et pour cause! " Il rêve notre cher ministre; les chefs d’établissement
et les enseignants savent que les sanctions n'ont plus d'effet sur certains éléments. Sans parler de la trouille dans les zones dites
sensibles. En fait c'est en amont qu'il faut travailler car l'ennui sur les bancs de l'école a des effets sur la discipline. En revanche il ne dit rien sur les filières d’apprentissage qui sont
toujours à la remorque. Témoin ce restaurateur qui recherche un apprenti depuis
plus d’un an. Ou ce patron boucher qui peine à recruter.Du coup on en fait
venir de l’étranger pour les critiquer ensuite.
En attendant on
ronge notre frein
Cela dit l 'absence d'innovation ne touche pas que le monde scolaire. Qu’il
s'agisse des problématiques de l'éducation, de la précarité, du handicap ou de
la vieillesse, il importe que les territoires soient impliqués avec toutes
leurs forces vives et leurs associations dans une prévention primaire de
proximité adaptée aux particularités des collectivités locales. On le sait, le
préventif est moins coûteux que le curatif. La France ne pourra se sortir de
son impasse financière liée notamment aux dépenses sociales qu'en rendant sa
population solidaire. Le vieillissement par exemple a un coût qui ne cesse de
grandir sans que l’on se penche sérieusement sur la question. Le service à la
personne ne répond pas à la demande. Le placement en maison de retraite ( en EPHAD notamment) est synonyme de fin de vie et ça coûte
très cher. En milieu rural c’est encore plus cruel. Alors, Il suffit d’un peu
de courage et d’imagination pour trouver des solutions audacieuses et éviter de
se débarrasser des anciens en les excluant . Là aussi, l'éducation doit jouer un rôle majeur dans la
dédiabolisation de la vieillesse. Les
technologies nouvelles ne cessent de se développer, mais la France reste à la
traîne dans bien des domaines victime certainement de son éducation et de ses
lourdeurs administratives qui freinent toute initiative. La France est
aujourd’hui, 13 novembre, le premier pays d’Europe à vivre à crédit jusqu’au 31
décembre. Nous avons dépassé l’Espagne, l’Italie, la Grèce… On rigolait du
temps de Hollande pensant que c’était à cause de son incompétence, mais
aujourd’hui sous Macron c’est pas mieux. Le gouvernement veut créer une taxe sur les
entreprises pour financer une taxe du gouvernement Hollande qui a été retoquée
et va coûter 10 milliards d’euros de remboursement. Même Hollande n’y aurait
pas pensé : la taxe pour rembourser la taxe, c’est fort, très fort. Combien de
temps encore allons nous devoir subir ce système? Je vous le dis, seule l'innovation pourra nous sortir du pétrin dans lequel nous nous sommes mis depuis les Trente Glorieuses.
À propos du futur du territoire, vous avez doté votre vallée d'un site de développement économique, aussi appelé Ecoparc, et honni par les élus du rocher depuis bien longtemps.
RépondreSupprimerDepuis une semaine le petit milieu avranchinais, par la voix de ses spécialistes immobilier, explique que votre président aurait mandaté un tiers privé bien connu pour ses opérations financières, aux fins de négocier le rachat dudit outil public et l'éviction de ses occupants actuels.
Tout cela pose questions.
Lors de vos réunions publiques vous expliquiez que ce projet était à l'équilibre financier. Quel serait l'intérêt pour les nouvelles entreprises de passer par un privé pas spécialement connu pour la philanthropie ?
Pouvez-vous nous donner votre pensée sur le sujet ?
De plus, à la lecture du journal de ce matin il risque d'y avoir un léger problème...
Cdt
Olivier
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SupprimerJe vois que les nouvelles vont vite. Il ne m'appartient pas de les commenter. En revanche il ne s'agit pas d'une question d'équilibre financier. Vous le savez peut être, les "coques (bardage et charpentes) sur lesquelles reposent les couvertures photovoltaiques ont été financées par la filiale de Langa Solar qui bénéficie de la vente de l'électricité. Ces coques ont une valeur de 5,4 millions d'euros et sont la propriété de la société d'économie mixte Séenergie. La communauté d'agglomération les aménage pour les entreprises qui souhaitent s'implanter sur le site. Ces entreprise paient un loyer qui couvre les emprunts réalisés pour l'aménagement. Voilà pour l'équilibre financier.
RépondreSupprimerJ'ajoute que le propriétaire des toitures paie une taxe importante sur l'énergie ( IFER de plus de50000€) et une taxe foncière perçues directement par la communauté. Quant aux entreprises présentes elles paient aussi à la communauté la CFE, et la CVA en plus de leurs loyers. C'est la raison pour laquelle la recette économique par habitant sur le Val de Sée était supérieure á celle des autres communautés. L'investissement économique rapporte des loyers et des recettes fiscales quand celui des équipements culturels et sportifs, nécessaires aux habitants, n'entraînent que des charges de fonctionnement et des remboursements d'emprunts entièrement á la charge des contribuables.
SupprimerLes spécialistes de l'immobilier se vantent de l'affaire qu'ils vont faire. Que vont devenir les entreprises qui se sont implantées et celle qui veut s'implanter???? Tout cela commence à alimenter les conversations.y a de quoi
RépondreSupprimerC'est devenu le sujet de tous les comptoirs en ce moment. Et cela correspond bien aux méthodes de l'intéressé y compris qu'il a réussi à vendre une histoire pour enrober un coup financier. Une future victime de plus lol. Ah mince c'est vrai çà sera encore nous les couillons ���� Je pensais nos élites à l'abri des mithos. Crédulité ? Ou pire ��
RépondreSupprimerLe réveil risque d'être brutal
RépondreSupprimerBrutal pour qui ? A mon avis les élus qui se sont faits retourner d'abord. MM est un malin qui a toujours 3 longueurs d'avance en matière de business.
RépondreSupprimerIl pourra bien partir à 40 ans en retraite comme il l'a toujours dit. C'est dans 2 ans non ?
Nico
Où peut-on avoir des informations sur le prix de mise en vente des biens ? Quand est-il prévu la mise en concurrence ou l'appel à projet ?
RépondreSupprimerPeut-on racheter la centrale photovoltaique avec ?
La collectivité a t-elle des soucis financiers pour devoir transférer ses actifs au privé ?
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RépondreSupprimerAu passage PME et petite entreprise c'est pareil. Il fallait dire PMI. Sinon oui, je suis d'accord avec vous.
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RépondreSupprimerIl ne faut pas faire la fine bouche face aux opportunités. Vuitton, grâce à François Digard en à été une. J'espère qu'il y en aura d'autres. En même temps il est souhaitable de disposer d'un immobilier susceptible d'être mis à disposition des entreprises dans les meilleurs délais car, vous le dites, l'avenir économique du Sud Manche doit se sécuriser autour des PME et PMI
RépondreSupprimerVous croyez ce que vous dites ? Mr Millet un Vuiton bis... déjà ce dernier n'a pas prétendu prendre sa retraite à 40 ans. Ensuite il a construit son empire sur un métier pérenne du haut de gamme et non sur une opportunité de marché à court terme pour faire un coup.
RépondreSupprimerLa stratégie des grandes marques est parfaitement incompatibles avec la remise sur le marché de leurs propres terminaux d'une part et ils n'ont pas attendu après un concurrent de leurs partenaires exclusifs pour développer leurs stratégies d'autre part.
En revanche, la politique de rachat ou tentatives de rachat tous azimuts d'entreprises locales sans rapport entre elles confirme une tentative de consolidation financière personnelle et non de la construction d'un groupe puissant à long terme.
Enfin, je pense qu'en temps qu'élus vous n'êtes pas armés pour lutter contre les marchands de rêves ; les financiers du dimanche.
Vous devriez pourtant vous méfier si vous pouvez vous souvenir de ce qui arriva par le passé à une de vos entreprises (Sodibois). Vous avez le même profil de personnage (les reprenneurs s'entend).
Je n'ai pas du bien m'expliquer.La Manche à résisté à la crise parce que son tissu économique est constitué de 95% de PMI et PME. Nous devons être attentif à celà. De plus je n'ai en rien comparé Vuiton avec une Startup locale dont nombre de commentaires font état. Notre politique doit porter sur le développement endogêne qui doit nous amener à disposer de foncier et d'immobilier. C'est bien ce qui nous a amenés à créer l'écoparc auprès de l'autoroute pour répondre aux besoins des 10 prochaines années en y accueillant une ou deux entreprises par an.
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RépondreSupprimerPour ce qui est des entreprises citées le mérite revient à leurs seuls fondateurs à l'exception de Stelmi dont on peut reconnaître le travail d'un petit maire...
SupprimerConcernant Remade, si cela devait être une success storie il faut remercier JH Dewitte et G Huet pour leur soutien actif au projet. Mais j'ai quand même un doute puisqu'il vient de liquider une société sur la même activité près d'Angers ; Delagation d'employés méprisée sur son parking il y a peu. Dommage que le père soit en retraite il aurait pu représenter les employés lol
C'est bien là le problème. Les élus ont très peur que les moyens de l'agglo soient absorbés par un Ecoparc plutôt sexy si on le compare aux habituelles ZA.
RépondreSupprimerDonc le président actuel a tout intérêt à préparer sa réélection sans déplaire aux élus et en vantant une gestion comptable "idéale"... vente de ce qui a de la valeur chez les autres (actifs) en baissant les besoins d'investissement. Car pour un élu dont l'expérience se limite à la valorisation de l'histoire il ne faudra pas s'attendre à un profil d'entrepreneur pour le territoire.
Autre effet kiss-cool : camoufler les augmentations de fonctionnement dû aux recrutements pour présenter un budget à l'équilibre sur les 2 ans et quelques restant à courir, sans se demander d'où il tirera les recettes nouvelles après. Peut-être grâce à St Michel.
On ne peut pas reprocher à un chef d'entreprise d'avoir des idées et de faire des affaires. Sa réussite fait aussi gagner le territoire. De plus C'est un enfant du pays qui aime son territoire. La réponse à la question dont traite la majorité des commentaires doit pouvoir être apportée par la politique économique si elle est bien définie.
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RépondreSupprimerDemander quoi ? De quitter le parc ?? Si c'est cela j'imagine que votre entreprise l'occupe avec un contrat ou titre ou même une simple promesse. On est pas en république bananière tout de même. J'ai visité une fois le site qui est assez surprenant, et je suis persuadé que même en y logeant toutes ses sociétés il pourrait le faire dans une petite fraction. Ceci cache peut être un règlement de compte.
SupprimerBref rien de très clair.
Vous dites un enfant du pays qui aime son territoire c'est une plaisenterie. C'est le pognon qui l'intéresse ne soyez pas naïf ou arrêtez la langue de bois un peu de courage.
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SupprimerL'arbre qui cache la forêt... Le mécénat pour un financier est toujours fait dans un objectif d'image-notoriété.
SupprimerQuant aux enfants du pays je crois savoir qu'il y en a d'autres sur le site commercialisé par la collectivité. Eux aussi ont le droit de se développer et d'investir sur le territoire d'autant qu'au moins 1 a accepté de s'y installer quand personne ne croyait à la réussite.
Mr Trehet a toujours été un visionnaire créatif en avance sur tout le monde. Quoi qu'il arrive c'est lui qui conservera le mérite.
La seule chose gênante dans cette histoire réside dans le risque que l'inconséquence et la médiocrité de ses successeurs détruisent un bel outil, ou à minima donnent un avantage à un privé pour vider le territoire ou détruire des activités concurrentes proches.
P.L.
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SupprimerBravo pour votre action Mr Tréhet, vous avez toujours été en avance sur les autres. Ne baissez pas les bras, la nouvelle communauté ne vise qu'à récolter ce que vous avez semé, ils n'ont aucune audace.
RépondreSupprimerJe dirais qu'ils ont de l'audace pour détruire mais aucune imagination pour créer ou s'appuyer sur le travail des autres pour continuer les actions de long terme.
SupprimerIls se croient jeunes ; ce sont des vieux sans imagination, sans expérience, et sans connaissance des réalités économiques.
Oui, bravo.
RépondreSupprimerMais attention, des jaloux qui n'ont rien fait vous en veulent aujourd'hui, conscient de leur "mollesse", pour ne pas dire autre chose.
Ne sortez plus sans un gilet pare balles. Certains vous tirent dans le dos, mais pour l'instant avec des balles à blanc ! Jusqu'à quand ?
On nage en plein polar. ..Vite la suite
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RépondreSupprimerJe n'imaginais pas que ce dernier article serait sujet à tous ces commentaires, mon propos parlant surtout d'innovation en matière éducative et sociale.Certes,l'écoparc est une innovation à bien des égards qui a fait beaucoup causer. Vous comprendrez toutefois qu'en m'a qualité de vice-président de la communauté je ne souhaite pas prendre part à cette discussion pour éviter toute division. En revanche, je pense que toute précipitation est mauvaise conseillère.
RépondreSupprimerEn tout cas cela alimente les conversations aux bars et dans les commerces à Brécey ; ne lâchez rien ....
SupprimerPoursuivre son chemin lorsqu'il est bien balisė tel était l'objet hier soir d'une réunion d'élus représentant 62% de la population du Val de Sée dont le but était d'analyser la situation sociale de ce territoire pour innover et répondre aux besoins de la population, une réunion fort constructive qui traduit le grand intérêt des élus présents pour les habitants de leur territoire.
RépondreSupprimerIl faut dire que les conversations ont été bien alimentées par les proches de l'enfant du pays.
RépondreSupprimerVous dites ne pas vouloir la division mais les élus proches "du pouvoir" affirment qu'ils vont vous ou vous ont neutralisé.
Aussi, ce nouvel épisode interroge.
Si vos collègues se plaisent à jouer les fantômes, nous les citoyens aimerions qu'on arrête de nous prendre pour des cons.
OR - chef d'entreprise
Les conversations de comptoir parlons en.Les philosophes du pastis c'est sûr qu'ils ont des idées. D'accord, direz vous il n'y a pas de fumée sans feu, et tout cas il ne faut pas compter sur eux pour jouer les pompiers
RépondreSupprimerIl s'agit plus de l'expression à mon avis... allez vous promener au marché ou dans les restaurants le midi. On y est assez éloigné des discussions d'ivrognes tel que vous le laisser penser. Les clients de ces établissements apprécieront.
SupprimerLe sujet que beaucoup d'entre vous ont abordé est important sur le plan économique mais ne nous égarons pas en utilisant des mots qui font mal. Je vous en remercie. Il nous arrive aux uns ou aux autres de prendre un apéro sans dépasser la dose. Chacun d'entre nous peut avoir une idée différente sur la politique économique que nous voulons pour notre territoire. C'est un domaine trop important pour que nous l'abordions avec des préjugés ou des rancoeurs. Nous devons étudier une telle question en ayant toutes les données qui s'imposent pour être en toute sécurité administrative et économique. Le futur ne se construit pas au fil de l'eau mais les opportunités doivent être étudiées en évitant de créer des victimes. La négociation est toujours utile quand elle n'est pas à sens unique.
SupprimerLe sujet que beaucoup d'entre vous ont abordé est important sur le plan économique mais ne nous égarons pas en utilisant des mots qui font mal. Je vous en remercie. Il nous arrive aux uns ou aux autres de prendre un apéro sans dépasser la dose. Chacun d'entre nous peut avoir une idée différente sur la politique économique que nous voulons pour notre territoire. C'est un domaine trop important pour que nous l'abordions avec des préjugés ou des rancoeurs. Nous devons étudier une telle question en ayant toutes les données qui s'imposent pour être en toute sécurité administrative et économique. Le futur ne se construit pas au fil de l'eau mais les opportunités doivent être étudiées en évitant de créer des victimes. La négociation est toujours utile quand elle n'est pas à sens unique.
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RépondreSupprimerVu que notre coopérative profite de la situation pour regrouper ses activités en Bretagne j'avais compris que c'était déjà validé par le président de la communauté.
RépondreSupprimerL'éco-parc perd donc déjà une entreprise (administration et laboraroire).
Perso je m'y plaisais bien
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RépondreSupprimerSi le projet apporte des emplois et l'occupation totale du site, c'est plutôt une bonne chose et la preuve que votre action était la bonne. C'est vous qui devez être remercié. Et puis, ça va dans le sens que vous prônez l'innovation.
RépondreSupprimerGA
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RépondreSupprimerEt oui..attention de ne pas succomber au cris des sirènes. De toute façon, comme d'habitude ce sont les salariés qui paieront l'addition
RépondreSupprimer