Le
22 février 2018, le président de la communauté d'agglomération présentait
en séance plénière la cession de l'écoparc du "Chêne au loup" au
bénéfice de la société Ecoparc (créée 5mois plus tard le 3 juillet). Il
indiquait dans son propos : « qu'il fallait trouver des moyens
intelligents pour avoir des recettes durables," ajoutant que la vente de l'écoparc
pouvait nous "donner la capacité d'investir sur d'autres projets", nos moyens
financiers actuels étant insuffisants... J'approuve. Encore faut-il que cette cession
permette à tous les partenaires d'être gagnants, les contribuables
notamment.
C'est
pourquoi, l’ancien prof que je suis, selon les mots du président qui ne manque jamais de me
le rappeler comme si c’était une tare, tente de vous démontrer que la cession de l'écoparc est une affaire
immobilière qui ne rapportera aucun bénéfice financier à l'agglomération dans la situation actuelle et que
l'optimisme des uns n'a d'égal que l'inquiétude des autres face au
déroulement du projet et à ses éventuelles conséquences. Aux dernières
nouvelles un effort vient d'être fait pour la société TLD Pro si j'en crois le
résumé de la conférence de presse. Elle pourra rester sur le site. C'est
un progrès mais ce n'est pas suffisant.
Oublions pour l'instant toutes les hypothèses de surcoûts susceptibles d'être engendrés par le
bâtiment qui sera construit sur le site de la Huberdière au profit de Sogetrel,
société à laquelle nous tenons et n'épilogons pas sur le remboursement des subventions de
l'Etat qui seraient en cours de négociation . Bornons nous seulement à entrer dans les chiffres de la vente de l'écoparc et à les analyser pour
mieux les comprendre. Tout d'abord la recette votée il y a 5 mois reste toujours de 6,569.000 d'euros à plus ou moins 10% ajoute t-on
aujourd'hui, soit une marge de 1,2 millions d'euros pour négocier. Cette somme
couvrirait l'achat et l'aménagement des terrains, l'achat des bâtiments
occupés à l'exception de celui de TLD PRO, le remboursement d'une partie des
subventions du département, et les frais liés à la SEM Sénergie dont le rachat
des actions de trois actionnaires privés, l'un d'entr'eux étant également
actionnaire de la SAS SENERGIE 9.
Analysons ces chiffres en est en toute objectivité.
Le
coût global de l'écoparc, dans sa situation actuelle, pour la communauté et sa
société d'économie mixte a été de 13.333.882 € hors toitures financées par la
société Cap Solar (bacs acier + panneaux photovoltaïques). Le coût de ces
toitures a été de 12 millions d'€
La
communauté a financé l'achat des terrains et leur aménagement pour un coût de
4.524.574 €.
La construction des coques réalisées par la SEM dans le cadre d'un bail à construction avec la communauté s'est élevée à 5,5 millions d'euros. La SEM a perçu 5,2 millions d'euros de Cap Solar au titre de la PTF ( Proposition Technique et financière payée à EDF Option d'Achat par la SEM) qu'elle a revendue à cette société et au titre du bail emphytéotique signé pour 20 ans avec Cap Solar pour la gestion des toitures et la production d'énergie (4,8MW).
Les aménagements des coques pour l'accueil des entreprises financés eux aussi par la communauté ont coûté 3.309.308 €.
La construction des coques réalisées par la SEM dans le cadre d'un bail à construction avec la communauté s'est élevée à 5,5 millions d'euros. La SEM a perçu 5,2 millions d'euros de Cap Solar au titre de la PTF ( Proposition Technique et financière payée à EDF Option d'Achat par la SEM) qu'elle a revendue à cette société et au titre du bail emphytéotique signé pour 20 ans avec Cap Solar pour la gestion des toitures et la production d'énergie (4,8MW).
Les aménagements des coques pour l'accueil des entreprises financés eux aussi par la communauté ont coûté 3.309.308 €.
Le coût total a donc été de 13.333.882€ hors toitures photovoltaiques. Son financement s'est effectué de la manière suivante :
Subventions Etat et Département :
: 1.896.000 €
Cap Solar via la SEM.
: 5.200.000€
Emprunt SEM
: 300.000€
Emprunt communauté de la communauté. : 5.937.882
( Les loyers annuels des 6 entreprises
implantées: 136.135 )
En
conséquence la recette de la vente ne libérera que 631.138 € . Elle couvrira
seulement le remboursement d'une partie des subventions demandée par le
département (355.000€) et le rachat des actions de 3 partenaires privés de la
SEM (277.000€).
Avec
cette recette, la communauté aura deux alternatives: celle de rembourser ses
emprunts (5.937.882€) ou celui de continuer à payer les annuités
d'emprunt, sachant que les annuités correspondantes à 2millions d'emprunt ne
pourront plus être couvertes par les loyers qui seront désormais perçus
par la société Écoparc. Notons toutefois que cette analyse n'a pas pris en
compte le fait que la société Écoparc ne pourra acquérir le bâtiment de la
société TLD Pro, titulaire d'une location vente.
Rappelons
surtout, que la fraction des 5/20 èmes des coques (1.300.000€) dont la
communauté est désormais propriétaire ( bail à construction de 20 ans) n'a pas
été prise en compte dans le prix de vente, ni même l'emprunt de la SEM
(300.000€), ni l'achat de la PTF à la SEM (plus de 280.000€) par CAP SOLAR)...
La valeur comptable des coques ne peut donc pas être considérée comme nulle
pour la SEM. Aujourd'hui, compte tenu de la différence de prix (1.900.000€)
entre le bâtiment prévu sur l'écoparc pour Sogetrel et celui que la communauté
veut lui construire sur le site de la Huberdière montre bien que la valeur
marchande des coques aurait dû être évaluée à son juste prix. Lors d'un premier
conseil d'administration de la SEM, les experts comptables avaientt estimé la valeur des coques à 3.880.000€ pour la SEM, somme qui avait été votée à l'unanimité par les actionnaires publics et privés. Nous en
sommes à la gratuité désormais.
Coup
de théâtre aujourd'hui dont nous nous félicitons, nous apprenons que la société écoparc financerait à
l'euro près les dépenses supplémentaires: surcoût bâtiment Sogetrel,
remboursement éventuel des subventions d'État. Ira t-elle jusqu'à financer les
5/20ème des coques dont la communauté est propriétaire. Y compris l'emprunt de
la SEM réalisé pour la construction des coques, et la vente de la PTF qui a contribué
à financer ces mêmes coques? En bons normands, les élus de la communauté
souhaiteront probablement avoir des certitudes. Le campus Remade est
alléchant mais il ne doit pas être un mirage. En attendant, les 5,5 millions de
coques qui bénéficiaient à la communauté pour faciliter l'implantation de
nouvelles entreprises, vont tomber dans l’escarcelle de la Société immobilière
Écoparc. Un tel cadeau est-il convenable? Si les bâtiments Sogetrel étaient réintégrés sur l'écoparc, les 1,9millions de dépenses supplémentaires inutiles, ce surcoûi couvrirait les 5/20èmes des coques (1,3m€), la PTF (280000€) et l'emprunt de 300000€ de la SEM; la situation serait bien différente d'autant que cette construction est loin d'être faite compte tenu des recours qui ne manqueront pas d'être déposés. Affaire à suivre et bienvenue à Remade si le prix de vente tient compte de ces conditions.
Ont-ils bien conscience des difficultés qu'il vont rencontrer pour la construction sur le site de La Huberdière et du retard qui va s'accumuler. C'est facile d'avancer sans permis de construire et sans appel d'offres.
RépondreSupprimerC'est la valse des millions, un coup chez l'un, un coup chez l'autre. Le contribuable simple citoyen(pigeon notoire) est le dindon de la farce puisqu'il est si simple de manoeuvrer avec l'argent des autres. Le pénal prime sur le civil, et à ce jour l'agglomération est débitrice en droit pour faire des travaux sans permis de construire et donc avoir passé une commande de travaux de terrassement sans appel d'offre à une entreprise qui porte le même nom qu'un actionnaire de la SEM...3 situations à clarifier d'un point de vue juridique. Les règles de droit doivent s'appliquer avant toute autres avancées et engagements de la collectivité dans ce dossier. La mise en place d'une commission d'enquête serait opportune, c'est à la mode.
RépondreSupprimerSelon mes sources ils prétendent qu'il est possible de transférer des marchés sur un autre projet et que l'affouillement de toute la parcelle sur des profondeurs parfois importantes ne pose pas de problème d'autant que personne ne pourra démontrer que c'était bien plus de 2 m. Bon pour la surface un drone suffit à montrer qu'on est bien au delà des 2000m2.
RépondreSupprimerLes services de l'agglo venus sur place aux gîtes 1 semaine avant on pu constater l'ampleur des dégâts et futures nuisances.
En supposant qu'ils ne suivaient pas le chantier commencé 2 semaines avant, ils auraient dû le faire cesser le jour même et exiger sa mise en sécurité. Il faudra attendre 1 journée après l'arrêté l'interdiction pour que la loi soit respectée.
Et ce ne sont pas les auto satisfecits du président et vp devant la presse qui changeront la réalité des faits constatés.
Tout chantier nouveau doit faire l'objet d'un appel d'offre. Il ne faut sortir de polytechnique pour le savoir. La concurrence est indispensables. La Huberdière ne fait pas partie le la zone u chêne au loup.Vous avez vraiment un problème de compéteces dans votre agglo. Comment la commission d'appel d'offres a t-elle pu laisser passer une telle erreur?
SupprimerCette communauté fait du grand n'importe quoi. La grande illusion!
SupprimerJe constate que si nous n'avions pas votre blog, et depuis peu la Manche libre, on se ferait tous enfumer par le politique.
RépondreSupprimerVous avez oublié de parler des bassins. Ils devaient pas être déjà finis (vu le temps c'était idéal pour du terrassement). Depuis peu il y a un affichage. Ils attendent la vente ou c'était déjà au budget ?
J'ai cru lire dans Ouest France, que l'association du canoe kayack. Les esperait pour 2019.mpp
SupprimerIl faut bien lire entre les lignes, tout n'est pas dit dans la conférence de presse. La parole de l'acquéreur potentiel est devenu histoire de sainteté pour son nouvel ami et on étale des éléments financiers et contractuels qui ne devraient être évoqué qu'en AG ou bureau. Cet acquéreur potentiel n'est pas un nouveau VP. Où étaient les autres membres du bureau à cette conférence ? Quel projets on été formalisés et transmis aux élus qui ne sont jamais consultés ? Il faut de toute urgence mettre cette administration territoriale sous tutelle de l'état, dissoudre son bureau et contrôler tous les actes et procédures. Qu'est-ce qu'on attend pour mettre un terme à ces agissements ? Merci Monsieur Trehet, grâce à vous on sait des choses. Un petit élu.
RépondreSupprimerLes élus sont informés par communiqué de presse diffusé par les services avant les journaux.
SupprimerDe toute façon il servent à rien. Donc pourquoi perdre du temps à les réunir pour information ? Si c'était pour des réunions de travail encore ; mais pour avoir juste de droit de lever la main pour un vote çà n'a aucun intérêt.
C'était quoi déjà les critères pour les choix des commissions ?
Le petit prof a tout de même une agrégation et un doctorat et a été le plus jeune principal de France en son temps. Ce président d'agglo peut-il en dire autant ?
RépondreSupprimerMerci mais ce n'est pas le sujet.Les diplômes ne font pas tout et je n'ai que l'équivalent d'un doctorat de 3ème cycle dont la partie recherche en microbiologie.
SupprimerC'est un doctorat en psychologie qu'il faut pour travailler avec ces nouveaux élus.
Supprimer"Le petit prof"....Je reprends ici le début d'un post ci-dessus.
SupprimerJe trouve cette intervention lamentable de bassesse.
Comparer des hommes pour ce qu'ils font, oui; parler de leurs diplômes, non.
Beaucoup d'hommes et de femmes "qui-n'ont-pas-réussi-à-l'école" sont ou ont été de grands et vrais acteurs de la vie politique, économique, sociale....
Catherine
"Le petit prof"....Je reprends ici le début d'un post ci-dessus.
SupprimerJe trouve cette intervention lamentable de bassesse.
Comparer des hommes pour ce qu'ils font, oui; parler de leurs diplômes, non.
Beaucoup d'hommes et de femmes "qui-n'ont-pas-réussi-à-l'école" sont ou ont été de grands et vrais acteurs de la vie politique, économique, sociale....
Catherine
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RépondreSupprimerCommentaire trop fort dans sa conclusion.Mais bien vrai dans sa morale. Il arrive que l'on veuille prouver le contraire de ce que l'on est.Pour avoir fréquenté de grands artistes, leur talent n'avait d'égal que leur simplicité.Le vieux prof s'excuse de ne pas avoir publié votre commentaire
SupprimerLe désir d'exister n'est pas toujours le désir de créer. C'est un vieil élu qui vous le dit
RépondreSupprimerQu'est ce que c'est que cette histoire 12 + 13 = 25 et le prix d'achat 6 ??? Ca c'est coté privé ? (Les toits reviennent au propriétaire au bout de combien de temps ?)
RépondreSupprimerCoté agglo, 6 - remboursement - dédommagement = combien ?
Peau de chagrin ???
Et ca sans parler de la légalité... de la trajectoire empruntée par les protagonistes. Plus c'est gros plus ca passe, c'est ca ? Quelle exemplarité
Et les mauvais comptes ca fait quoi ?
RépondreSupprimerPour Alfred Adler, le fait d'éprouver un fort sentiment d'infériorité peut aboutir à une surcompensation sous la forme d'un effort exagéré de valorisation, ou à ce qu'il appelle la volonté de puissance. (Ref Understanding Human Nature et Social Interest).
RépondreSupprimerCe que l'on peut en retenir, c'est qu'un complexe de supériorité est un mécanisme de défense psychologique par lequel les sentiments de supériorité d'un individu comblent ses sentiments d'infériorité.
Étonnant non ?
Etonnant, oui ! Toute ressemblance etc
SupprimerEn tombant sur la conférence de Presse, un journaliste est pris à parti par le racheteur : (34'52'') C'est Thomas c'est ca ? REp: Monsieur Thomas. Ent : "Arretez de publier des conneries, arretez !"... "Vérifiez vos chiffres ! "
RépondreSupprimerCe qui est très étonnant ensuite ce sont les propos des élus qui expliquent pendant un temps très long qu'ils ne savent pas combien vont coûter les travaux SOGETREL par rapport aux travaux initialement prévus. Plus tard (46'26''), le président revient sur le titre "une affaire hasardeuse,... faut peser les mots. Sérieusement c'est quasiment de la diffamation, ca pourrait être interprété comme çà".
Contradictions, pressions succesives, omerta demandée devant la caméra. C'est hallucinant. Bravo au journaliste qui fait face. Bravo Monsieur !
La presse est libre. De soutenir qui elle veut. À l'evidence, la succès story millet leur serait devenu le mirage millet. La presse serait-elle tuyautee par les douanes ? ��
SupprimerJournaliste ? Quel journaliste ?
SupprimerQui présidait la conférence de presse une fois 2M arrivé ? les élus se sont subitement éteints.
SupprimerVoilà çà reprend ce que je disais pour expliquer le comportement.
RépondreSupprimerJe comprends pour la censure.
N'empêche il est tellement différent en fond que ce qu'il montre sur la forme... Je fais partie des déçus. J'aurais mieux fait de me casser une jambe au lieu d'aller voter, ou quand j'ai ecouté son vieux soutien. Finalement il aime bien les vieux quand ils peuvent le servir et... (censuré)
Y aura t-il quelques élus à avoir le courage de se lever pour ne pas aller plus loin sur le projet de la huberdière? Pourquoi?
RépondreSupprimerUn surcout actuel de 1,9 m€ sur le projet de départ. Même si la société écoparc paie la différence, dans une limite, c'est jeter l'argent par les fenêtres.
Un retard inévitable et inappréciable étant donné les recours, et les fautes vis à vis de la réglementation.
Des manques vis à vis de nos engagements avec Sogetrel.
Ne risque t on pas que la direction nationale de cette entreprise se retire. Tout ces risques parce que le patron de la société écoparc n'a rien voulu entendre.
Pas étonnant qu'on se demande partout sur le territoire s'il y a un pilote dans l'avion. Écoutez la vidéo de la conférence de presse sur avranches infos et faites vous votre idée perso. J'ai fait la mienne.
A l'écoute de la conférence de presse il apparaît que M Millet donne une leçon à la presse et au journaliste de la Manche Libre, le seul à avoir fait son travail. Ce Monsieur méprise le travail de la presse si un article n'abonde pas dans son sens. Consternant.
RépondreSupprimerIl a mis en même temps les élus sous l'éteignoir dès qu'il est arrivé. Je me réjouis d'avoir appris que la commune d'Avranches a mis l'association de canoé kayak dans la compétence de l'agglo. On va pouvoir avoir des bassins l'année prochaine. JCE
RépondreSupprimer"en même temps" ... hahaha !!!
SupprimerSi on cherche sur Google le mot REMADE, il suffit pour se faire une idée de regarder leur notation très basse et les commentaires de colère contre les services de cette société....
RépondreSupprimerTLD pourra rester sur le site jusqu'à l'avènement de l'écoparc nouvelle formule. Après il y a fort à parier qu'ils feront tout pour le faire dégager. C'est explicitement ce qu'a dit MMillet. Pour les autres leur sort est scellé. Je crois qu'il est temps de tourner la page de cette affaire et laisser MMillet faire son business. L'avenir dira qui avait raison. De toute façon sur 24 coques seules 4 étaient aménagées ça ne pouvait pas continuer ainsi. Aux dernières nouvelles un arrangement est en cours avec SOGETREL.
RépondreSupprimerSi j'ai bien suivi les choses, la questions n'était pas d'avoir ou de n'avoir pas Remade mais de l'accueillir dans le respect des entreprises et celui des finances de l'agglo. Quant au nombre de batiments aménagés depuis la fin de la construction des coques en 2014, quatre en effet, plus 2 pour Sogetrel en 2017+ 2 autres selon un article de presse, voici quelques mois.Si le projet Remade se réalise, que demande le peuple?
SupprimerOuais. 8 bâtiments sur 22 dispo en situation intiale et 400 emplois avec les 300 de sogetrel.
SupprimerLà c'est 21+2 nouveaux (chez les voisins - sont-ils d'accord ?) pour 400 emplois théoriques. Quand on voit le temps nécessaire pour cette transaction à vil prix permettez moi de douter sur la capacité à tout aménager en 3 ans...
A ce prix là n'y avait-il pas d'autres groupes d'investisseurs privés intéressés pour y développer des activités nouvelles ?
3M n'a pas démontré une dimension "chef d'entreprise" dans cette conf de presse. Comme aurait dit Sarko à propos d'un élu du nord : un vulgaire vendeur d'assurance. Au sujet de TLD : la vidéo est pain béni pour son patron. TLD accumule sans le vouloir une montagne de preuves qui lui permettra d'obtenir en justice une confortable indemnité d'éviction, si c'était nécessaire. La vraie question à laquelle personne ne répond, le 3M s'évertuant à expliquer en conf presse le contraire de la réalité (la question sur sa "condamnation") : d'où vient l'argent, s'il en a ? D'où vient sa fortune, s'il en a ? Il dit avoir vendu à la mauvaise personne ... la mauvaise personne ne l'a pas recruté ? Un journaliste raconte que 3M voudrait déposer plainte contre ses détracteurs : en le faisant, il sera bien obliger de dire de quoi il s'agit "remade" et son "campus" et son "groupe" monté comme un bric à brac. 3M n'a pas d'emplois à créer : parce que des emplois, ca suppose une industrie réelle. Le dossier millet est vide, confusément et désespérement vide. Ou qu'il mette en place public les documents qui prouve son génie. Je me souviens que ce tartuffe laissait prétendre qu'il gérait l'instagram de Macron. Sans même réaliser l'aberration qu'il laissait prospérer : l'instagram d'un chef d'Etat, c'est aussi du ressort de la sécurité nationale. Et les élus manchois gobent toutes ces balivernes ? Il suffirait que le vice proc d'Avranches (aux affaires économiques) ne traitent plus les affaires concernant 3M et le droit reprendrait quelques droits. Chiche ?
SupprimerMon sujet n'est pas de parler du projet de M.Millet mais de protéger la Communauté d'agglo dans cette cession. Pour l'emploi, il en a créé et en crée encore dans le Sud Manche. Ce ne sont pas des balivernes que nous gobons. Pour l'argent il parle d'une levée de fonds éloquente d'ici la fin de l'année. L'origine sera nécessairement donnée. L'agglo n'est pas procureur. Interrogation n'est pas suspicion mais attention de ne pas dépasser les bornes. Mon seul regret à propos de Matthieu c'est qu'il s'entête à vouloir 24 coques, comme s'il voulait isoler TLD Pro de Th.Lemoine.Avec 3 ou 4 batiments de moins placés où ils sont, cela ne changerait pas beaucoup son projet et la copropriété qu'il faudra faire n'en serait que facilitée... et l'argent ne serait pas utilisée inutilement pour la construction d'un batiment à côté du gîte de la huberdière. Que va t-il se passer s'il y a recours et demande de suspension de travaux en même temps? C'est bien parti pour cela. Ne jouons pas avec les emplois. Nous avons besoin de ceux de Remade comme de ceux de Sogetrel. Nous avions aussi besoin de ceux de RW2. Où sont-ils aujourd'hui?
SupprimerLes élus dans l eteignoir, mis à part M L'Aisne ce n'est pas les autres qui n'ont brillés que par leur silence. Que venait faire Henri dans cette galère. La seule fois où il a ouvert la bouche ça été pour dire que le projet ecoparc brecey en était à l'origine. Vous savez maintenant dans quelle équipe il joue
RépondreSupprimerLaisné c pas l'associé de Heude ? Et Heude c'est aussi le conseiller patrimonial de Millet. Çà sent l'opération immobilière. Bon une chose est sûre c'est qu'ils vont valoriser le projet pour pas perdre d'argent.
SupprimerDonc la vraie question est :"où seront les cocus ?"
Que l'attitude vis à vis de la presse soit très limite (on est pas en Russie) est une chose, mais moi ce qui me saute aux yeux c'est que nous avons un nouveau vice président à l'économie non élu, qui tient le crachoir au président.
RépondreSupprimerSignaler que le budget dérape et que les travaux ont commencé sans autorisation d'urbanisme est loin de la diffamation...
La correction des chiffres par DN sur son mur est surprenante à plus d'un titre d'ailleurs... pas 8.3M mais 6.5M à la question "est-ce une bonne affaire" etc. On se moque de qui ?
Le fond du sujet c'est surtout qu'ils flippent tous que çà remette en scelle l'ancien maire. Çà expliquerait la présence de Grouale.
RépondreSupprimerOUI ! Ce même qui n'est en aucun cas un journaliste et qui oeuvre de sa propre initiative sans aucun chef de rédaction ni société éditrice......Et qui tombe curieusement en panne de caméra lors des débats sur la fusion à Saint Martin des champs évitant ainsi de publier les bandes sonores des huées de l'assistance.......
SupprimerPourquoi les zinzins et hurluberlus (SIC 3M) donnent-ils l'outil de promotion économique à un seul homme (ou à ses investisseurs qui eux ne sont pas du pays). Si l'on considère qu'aménager coûte 2x plus cher en dehors du parc que sur le parc. Pourquoi tout donner à qq qui traite tout le monde de zinzins ?
RépondreSupprimerQuand on ose affirmer lors d'un point presse que l'on est constructif, positif, que l'on ne cherche pas la polémique et que l'on crache sur le vrai BÂTISSEUR de l'ecoparc, cela pourrait être risible si ça n'était pas pathétique.
RépondreSupprimerComment peut-on s'approprier le travail de longue haleine d'un autre sans lui rendre hommage, sans le nommer ? Décidemment cette agglomération est un bien piètre exemple d'intégrité. Pauvre Sud Manche qui, après avoir été plongé dans l'obscurantisme afin de faire le jeu de certains parlementaires, se retrouve aujourd'hui aux mains de personnes toutes aussi peu scrupuleuses
Il y a une erreur de frappe ce n'est pas Henri mais Henouf
RépondreSupprimerJe viens seulement d'écouter la conférence de presse. Il y a été beaucoup question d'opposants politiques... je demande à mes lecteurs de ne pas tomber dans ce travers et d'éviter de cliver la discussion en opposant des hommes et des femmes. L'écoparc est un projet économique qui a été réalisé pour le développement économique sur le moyen terme (10 à 15ans). Gouverner c'est anticiper l'avenir. Le projet Remade via la société Écoparc est évidemment d'un grand intérêt économique tel que présenté. Je persiste à penser néanmoins que la construction sur l'écoparc des deux batiments pour Sogetrel et le maintien d'Anfray-Leroux sur le site est la vraie solution compte tenu de la structuration du parc. Matthieu Millet s'y oppose. Je ne peux que le regretter. Pourquoi? Qu'importe. Pour autant la communauté devra pouvoir exiger que l'acte de vente traduise bien toutes les promesses de l'acquéreur, le budget d'une collectivité ne pouvant inscrire que des sommes palpables le jour de la vente.
RépondreSupprimerC'est ca qui est louche. Pourquoi ? Il est normal d'imaginer le pire puisqu'aucun engagement est pris. Il n'y aucune assurance donnée ni aucune assurance demandée. Celà ressemble à des accords de grès à grès. On travaille sur la faisabilité après la vente. C'est juste totalement anormal dans un cadre public
RépondreSupprimerLa liberté D'EXPRESSION ne doit pas être muselée d'une manière ou d'une autre. La presse dans le Sud Manche a rarement écrit des articles qui vont dans le sens de faits avérés mais très souvent dans le sens du vent. Il semble qu'un journal sort de sa zone de confort et qu'avec courage affronte ce qui lui paraît bizarre et incongru. Mais voilà qu'il se fait remonter les bretelles car pas dans le rang comme les autres. Wouah ! Doit-on comprendre que les opinions doivent toutes aller dans le même sens sinon attention "puni d'articles". On est en France où dans un pays totalitaire ? Il est temps que tous ces abus cessent et que la parole se libère.
RépondreSupprimerL'amateurisme crevait l'écran. Face à de tels sujets que de questions sans réponses. J'ai pitié. Quelle image donne le territoire à nos partenaires économiques ?
SupprimerPitoyable.
SupprimerQue de réponses sans instruction, de décisions à l'aveugle, de bras de fer inutiles. Au boulot !
M Huet a probablement raison de demander à ré-ouvrir le dossier comme il se doit et d'en tirer les conséquences.
Cette loi NOME a vraiment fait des dégâts.
Un bâtisseur commence par valoriser le travail déjà accompli et respecte ses partenaires et ses pairs. Publics et privés.
RépondreSupprimerUn bâtisseur rassemble et cherche la concorde, il n'utilise pas les instruments de la tyrannie que sont menace, chantage et plainte.
A ce jour, le seul bâtisseur dans l'histoire c'est vous Monsieur Tréhet. Espérons que ces prochains semaines en révèlerons d'autres avec qui construire sérieusement, juste sérieusement. Le sujet le mérite.
SupprimerBravo au journaliste de la Manche Libre
RépondreSupprimerFaut pas rêver, ils n'allaient pas inviter BTREHET à leur conférence de presse . dommage on aurait assister à une passe d'armes. En tout cas ce président de communauté manque sérieusement de savoir vivre. Tout comme sa bande qui l'entoure. C'est bien lui qui a évincé honteusement BT de l'économie. Il en aurait pourtant besoin le petit bibliothécaire.
RépondreSupprimerBonjour Mr Trehet. Autant j'apprécie vos articles pour leur aspect pédagogique, autant je trouve qu'en matière de modération vous pourriez faire mieux. "petit prof"..."petit bibliothécaire" ..etc - laisser passer ces appréciations sans que le modérateur de votre bolg n'intervienne ne grandit pas le débat. Voila pour la forme.
SupprimerSur le fond, je constate que vu le nombre d'intervenants tellement au fait de la situation et certains de détenir la vérité, notre sud manche a de beaux jours devant lui .
Pour ma part je constate que ce parc est désespérément quasiment vide depuis sa création, et que comme par hasard des entreprises s'y intéressent au moment de sa cession.
Pourquoi n'exigez vous pas un vrai dossier technique et financier côté collectivité ? Un descriptif technique (cahier des charges), un planning prévisionnel, etc côté Société immobilière ? Un business plan quoi. Sinon comment juger de la réalité du projet économique et de la légalité à céder des subventions massivement en dehors de tout cadre ?
RépondreSupprimerQu'ont vu les élus comme dossier papier en dehors du bilan de la vente qui ne parle pas du remboursement des prêts ?
Ok pour la vidéo. Un document explicatif peut-être ?
Les gens seraient peut-être moins surpris si les élus avaient eu un début de dossier.
+ une vraie cotation de la valeur du bien
Supprimer- si vendu bâtiments par bâtiments
- si vendu dans son ensemble
+ un appel à projet avant cahier des charges
- précisant l'orientation économique
etc.
Au reste, puisque 3M prétend contruire un "campus", j'attends que l'Académie nous informe de l'avancée des contacts entre recteur 3M. Un campus a un rôle éducatif ? Qui a déjà vu en France un campus 100% privé se passant des financements de l'Enseignement Supérieur ? Il n'y a pas de campus, pas de projet, ni économique, ni académique. Mais une belle coquille vide.
SupprimerQue les choses soient claires pour un lecteur dont le commentaire très vif n'a pas été publié. Le texte de ce blog ne fait que donner les chiffres connus à ce jour depuis le 22 février.A aucun moment il n'a été question de s'opposer à la vente de l'écoparc. Il est seulement demandé que la cession ne fasse pas de perdants en souscrivant à des exigences qui ne prennent pas en compte les réalités financières de la communauté d'agglo et de la SEM et celles des entreprises implantées. Je conçois que l'élu ne soit pas toujours en position de force face à l'emploi mais renoncer à ses engagement et à sa parole laissent un goût amer que tout le monde ne digère pas avec la même facilité. Le texte de ce blog est le dernier qui sera publié sur l'écoparc. Je considère que tout a été dit. Attendons désormais le tournure des événements et des négociation.
RépondreSupprimerMonsieur trehet, ils ont tout de même beau jeu de casser votre projet pour en soutenir un autre qui peut valoir par lui même. Dire qu'il y a eu 4coques d'aménagées en 7 ans est un peu culotté. Les coques ont été terminées en 2014. En 2015, RW2 vous propose de prendre 2 coques pour quitter Saint Hilaire. Vous avez refusé. Aujourd'hui ils sont à Louvigné du Désert avec 80 emplois féminins. Y en a qu'ont la mémoire courte. Et en 2017: 4 demandes dont Sogetrel. C'est deguelasse tout simplement.
SupprimerPersonne n'a compris pourquoi autant de pincettes vis à vis de St Hilaire sur le dossier RW2. Les bretons se sont posés moins de questions. Au bout de combien d'années sans réponse de la collectivité vous étiez légitime à honorer la demande de relocalisation ?
SupprimerIl a raison de ne pas se battre contre des moulins à vent. Ils préfèrent construire 3 salles de sport de près de 12millions que des entreprises et les amener à quitter le territoire. Ubu Roi
RépondreSupprimerIl suffit de regarder bêtement de l'utilité à conserver et maîtriser du foncier pour la collectivité : Sogetrel ; kayak polo ; RW2 ; Remade. Et nous parlons de foncier positionné stratégiquement sur les axes de communication.
RépondreSupprimerUne fois relogés Évolution, Anfray, et certainement Emperyland à terme. Il reste quoi pour loger des porteurs de projets ?
Et si vous pensez qu'une startup incubée à Rennes ou Caen reviendra investir dans le foncier au milieu des vaches vous vous mettez le doigt dans l'oeil jusqu'au cerveau.
Combien d'entreprises ont des soucis de surfaces pour se développer ? J'en connais au moins 2 sur Avranches.
Enfin pourquoi 2M n'a t-il pas acheté les terrains de son nouveau copain ou a stoppé les négociations avec Agrial et ses voisins ? Si c'etait pour choper des certificats verts ou des quotas CO2 il n'était pas compliqué de mettre ses propres panneaux et de faire de l'autoconsommation.
Les quotas CO2 ... les certificats d'économie d'énergie ... bien vu ! Pas mal pour retraiter des fonds ...
SupprimerTrois commentaires supprimés par erreur avec les excuses de l'auteur de ce blog
RépondreSupprimerJe suis actuellement en vacances sur la côte. En cherchant des news sur le secteur (on avait pas prévu le sale temps) je suis tombé sur votre site. Est-il possible de le visiter ?
RépondreSupprimerOn avait un projet du même genre à côté de Lille. Mais les élus se sont faits bananer par le moratoire photovoltaïque.
Par contre, même si on a aussi nos brochettes d'élus incompétents, on dirait qu'on est plus agressifs en matière d'accueil des entreprises. Si vous voulez du portage immobilier pour vos entreprises au centre de l'Europe et à 1h de Paris en train vous serez les bienvenus !
Les chiffres de BT sont les bons. Je rends hommage au "petit prof", brillant et sympathique bonhomme sûrement un peu naïf et assurément tellement maltraité. Il y avait BT, des femmes, des hommes prêts à construire et à foncer avec lui, des pros qui savaient faire, des terrains, des bâtiments, tout était réuni pour réussir et puis il y eut... rien...juste deux ans de gabegie, à placer les bons petits soldats et à éliminer les compétences.Tout est logique. Triste !
RépondreSupprimerIl a fallu qu'il soit robuste pour assumer mais comme il dit souvent il faut donner le temps au temps pour que les erreurs arrivent, malgré les conseils du vieux prof. On y est mais l'élève s'enferre dans ses certitudes. La suite nous y sommes. Quelques bons amis s'en inquiètent ouvertement. Le PETR a fait quelques dégats. Un élu désabusé. La loi NOTRe? Quelle erreur!
RépondreSupprimerUne horreur à écouter cette vidéo. Confus. Le Pdt qui découvre le sujet en le lisant. C'est l'impression que çà donne.
RépondreSupprimerExemple : une solution pour Anfray-Leroux est trouvée (d'ailleurs il est là et on le fait acquiescer) ; puis moins de 5 min plus tard "on doit étudier les sites de reimplantation et les conditions - la zone de "Mendon" semble correspondre.
Si tout est bouclé pourquoi rien est arrêté ??
Autre exemple : Lemoine je l'ai eu au téléphone hier soir et rester sur le site lui va bien ; 2 min plus tard - il restera sur site combien de temps ? Il verra bien...
Donc il a du découvrir la solution la veille de la conférence. C'est surtout un moyen d'éviter le contentieux avec l'agglo. Mr Laisné aurait pu lui expliquer qu'on ne peut pas vendre un même bien à 2 personnes distinctes en même temps. Bref Mr Lemoine doit être content de savoir qu'il sera en contentieux avec Millet plutôt qu'avec l'agglo.
Ex3 : les actionnaires sont ok pour céder leurs actions ; on discute les conditions... / la SEM n'a plus d'intérêt mais on la conserve pour céder les actifs... Euh comment çà s'appelle ??
Ex4 : le futsal C'est réglé ; enfin C'est en cours ; c'est bien parti. Bah pour moi c'était déjà réglé à Noël. Bref le Pdt en sait rien et prend en otage le chef d'entreprise en pleine négociation. Pour la morale ils repasseront.
Bon j'ai abandonné au bout de 20 min tellement j'avais l'impression d'écouter des amateurs.
Je me souviens une des 1eres interview de ce président d'agglomération, il disait qu'il se sentait chef d'orchestre. Deja à ce moment là le terme m'avais fait rire. Pour se prétendre chef d'orchestre, il faut aimer la musique et savoir jouer de plusieurs instruments... Il allait donc mener un grand orchestre en remuant la baguette sans savoir battre la mesure ? On entend la cacophonie aujourd'hui ��
RépondreSupprimerLa proposition d'implantation de la société Remade sur le site d'écopark est une belle opportunité pour le Sud Manche. Cette activité dès sa phase d'installation va générer un nombre d'heures de travail très important pour tous les secteurs d'activité: bâtiment, services, métiers de bouche, transport, formation et ce à long terme. Pour la collectivité, c'est aussi céder un bien qui aujourd'hui et dans les années à venir est une charge à supporter. Aucune autre opportunité de cette sorte ne se présentera à cours terme. Aujourd'hui dans la forme, il est vrai que les pions de cet échiquier semblent ne pas avoir été placés des meilleures façons et des tensions surgissent. Les hommes ne font que passer, leurs ouvrages restent, que chacun joue son rôle en respectant son voisin. F.B. élu CRMA Normandie.
RépondreSupprimerFB elu CRMA : "activité" ? Quelle activité ? Vous disposeriez d'un dossier projet en bonne et due forme ? Ce serait du favoritisme !
SupprimerSur le dossier du projet même Mr Nicolas avoue dans son interview qu'il commence à prendre forme... cela sous-entend qu'il n'y en avait pas au moment du vote du 22 février et qu'ils le construisent sous la pression.
SupprimerMieux, le 22 fevrier c'est son voisin de table qui lui a fait remarquer que la société écoparc n'était pas créée. il s'est retourné pour demander à ses services qui l'auraient rassuré. Les termes de la délibération ont tout de même été changés. Quelle insouciance.
SupprimerChambre Regionale des Métiers et de l'Artisanat
RépondreSupprimerJe serais assez d'accord sauf sur le "serait une charge" puisqu'il existe des recettes en face des investissements et que tous les actifs reviennent à la collectivité.
RépondreSupprimerEnsuite sur la stratégie publique à mettre tous les oeufs dans le même panier je vous trouve très optimiste sur l'activité de reconditionnement pérenne. Samsung vient d'annoncer les écrans incassables souples à base de polymères pour ses terminaux. Apple teste ses robots recycleurs et connaît déjà quelques difficultés pour les réparations sur le X.
S'ils développent le marché de la location captive hors opérateurs c'est tout le château de cartes qui s'effondre (çà répondrait à une attente marché pour les offres à bas prix et contournerait le problème de l'obsolescence programmée).
Enfin, personne ne peut prétendre que le parc en sa forme initiale n'aurait pas permis l'émergence d'autres projets technologiques comme pour le bois thermoformable. Où mettrez vous les hôtels d'entreprises et ateliers de rotation ? A Rennes métropole ?
La solution de BT qui consistait à mettre les nouvelles activités Remade dans une partie du site était beaucoup plus réaliste et respectueuse de l'intérêt général. Rien n'empêchait à terme M. Millet de négocier le départ des entreprises comme il va le faire avec Lemoine si le besoin se faisait sentir...
Pour les formations à long terme là aussi on est dans l'incantation. En quoi la réparation d'écrans et des coques est-elle la certitude de retrouver un emploi sur le territoire ??
On construit notre économie sur du sable. Heureusement qu'on a ACOME, Tricots Saint James, Cherault, La laiterie d'Isigny, Stelmi et quelques autres bien ancrées sur le territoire.JCE
SupprimerCes mêmes élus qui nous expliquaient dans les années 80 et 90 que les activités de la métallurgie n'étaient pas rentables et qu'il fallait vendre nos actifs... Aujourd'hui la Chine nous remercie de lui avoir donné tous les moyens de produire de l'acier de qualité qu'elle n'avait pas pour nous le revendre 2 fois le prix voir plus selon les cours.
RépondreSupprimerCe qui ne semble interpeler personne à l'heure où l'on parle de baisses de dotations, d'augmentation des coûts de fonctionnement des collectivités fusionnées , de suppression des sources de recettes (taxe d'habitation) c'est comment compte résoudre cette équation l'agglo ? En bradant ses actifs productifs ?
RépondreSupprimerDit autrement çà ne choquerait personne qu'un patron de bar embauche un employé et le finance 1 ou 2 mois en vendant ses pompes à bière et sa machine à café ? Il tirait d'où les nouvelles recettes pour garantir la nouvelle situation ?
Vous n'avez plus qu'à prier et mettre un cierge à l'église pour que Remade se développe ou que Mr Millet ait imaginé une solution de secours en se positionnant sur un nouveau business.
L'élu de la Chambre des métiers ferait mieux de promouvoir l'artisanat plus grand pourvoyeur d'emplois, source de recettes massives pour les comptes publics et non délocalisable.
Je vous rassure sur ce point cher anonyme et vous invite aux world skill de l'automne à Caen. Vous constaterez pas vous même l'excellence des savoirs-faire artisanaux. L'artisan est caution personnelle sur ses biens de ses emprunts ce qui le différencie du fonctionnement financier des industriels. Quand des sociétés a gros potentiel humain sont implantées, la population quelles emploient sont des clients potentiels pour l'artisanat.....et oui et en silence nous sommes le plus gros fournisseur de fonds sociaux.
SupprimerJe serai à vos olympiades de Caen. Nous sommes bien d'accords sur ce point. Nous sommes loin du monde de la finance et des "mirages industriels".
SupprimerAnonyme - Nico pour les intimes
Le monde des TPE et PME dont l'artisanat fait partie est un très gros pourvoyeur d'emploi. Une étude montrait qu'avec 50.000 de chiffre d'additionnel en plus pour une TPE cela créait 1 emploi LOCAL en plus, 100000 pour pour une PME, 150 pour une ETI et >250 pour les entreprises plus financières et moins locales.
SupprimerIl serait intéressant de regarder ce ratio pour les entreprises de l'écosystème dont on parle. Quelqu'un aurait les chiffres ?
Comprendre l'économie n'est pas donné à tout le monde. Il faut pouvoir atteindre le 2ème degré.C'est une autre paire de manches.A entendre quelques élus de ma commune, je pense qu'ils ont été formatés avec le même refrain. L'un d'entre eux va même jusqu'à chanter que ça coutera cher quand il faudra recycler les panneaux photovoltaiques oubliant volontairement ou non que ce n'est pas la communauté qui en est propriétaire. Tout est bon pour justifier la cession. Ou alors c'est d'une grande naiveté.
RépondreSupprimerEn France, c’est PV Cycle, un éco-organisme à but non lucratif qui assure la collecte et le recyclage des panneaux solaires photovoltaïques.
SupprimerFondé en juillet 2007 par plus de 30 producteurs internationaux, PV Cycle a notamment défini l’ensemble des conditions nécessaires pour garantir le succès du système de recyclage.
PV Cycle s’engage d’ailleurs depuis sa fondation sur des objectifs de taux de collecte et de recyclage supérieurs aux obligations de la DEEE.
Afin d’atteindre et de dépasser ces objectifs ambitieux, l’association met à disposition des points de collecte gratuits afin de transporter les déchets vers des usines spécialisées.
Il en existe aujourd’hui plus de 100 rien qu’en France.
Mais si vous n'en voulez plus dans 40 ans je suis preneur. Je me débrouille pour les enlever ! Pour info les panneaux de types cristallin (à base de silicium) sont recyclables à 99,9% à l'infini. La couche d'isolant fait quelques microns d'épaisseur.
Votre élu ne fait que véhiculer que des "on dit" en bon francais moyen et sans connaitre le sujet. 1 type de panneau pose problème mais n'est que très peu utilisé en France (à base de CdTe).
Ce n'est d'ailleurs si peu intéressant que ce qui vaut pour la collectivité ne le vaudrait pas pour notre philanthrope local ??
SupprimerRetournez à vos élus leurs arguments (bêtises ?). Mais avant privez les de leur principale source d'information (le journal de 13h et arthur et the voice)
La réputation du français est assez limite (litote) mais là c'est effectivement un cas d'exception (litote). Sauf aux frontières (heureusement). Effectivement l'actif est plus qu'intéressant et sa durée de vie dépasse largement la durée communément acceptée dans les BP. D'ailleurs du bâtiment d'Entreprise avec des moyens énergétiques, c'est la cible des bonnes affaires à cibler pour les investisseurs dans une gestion de portefeuille qui prend en compte les scénarios catastrophes (gros portefeuilles).
SupprimerAujourd'hui cela appartient à la communauté, c'est très bien comme cela.
Le contrat signé avec l'énergéticien est de combien d'années ?
20 ans plus 10 plus 10 Engie semble avoir racheté l'affaire Langa Solar.
SupprimerNe connaissant pas l'élu de la CRMA, c'est peut-être avec la casquette de professionnel local que la parole a été prise ? Sur le sujet de l'installation. Attention aux collusions, l'affaire SOGETREL en est un bel exemple, ca fait commettre des erreurs de discernement.
RépondreSupprimerIl faut etre serieux et responsable. C'est à la communauté de négocier avec Nicolas Leroux. Lui proposer un terrain sur la zone de Meudon est ridicule. Il n'arrivera jamais à faire un batiment au même prix que celui qu'il occupe sur l'écoparc. Il avait une promesse de location vente.Que vaut une promesse pour le maire d'Avranches. Ce ne sera pas la première fois qu'il renie sa parole... on s'en souvient .. maire à 100%
RépondreSupprimerC'est effectivement l’intérêt de cette réserve de foncier à vocation économique : permettre au tissu entrepreneurial local dans toute sa diversité de se développer en se concentrant sur les activités qui créent de la valeur et, en multipliant les interfaces avec d'autres (autofertilisation), de permettre à des synergies gagnantes d'émerger.
SupprimerComme entreprise du bâtiment il n'aura pas trop de mal à négocier ses conditions de sortie avec le promoteur immobilier et/ou se faire financer un bâtiment aux mêmes conditions.
SupprimerLa situation est plus compliquée pour Emperyland, jpr, et evolution vis à vis de la collectivité.
Par contre on ne sait rien des autres entreprises qui devaient s'installer sur le site, et notamment le groupement d'entreprises qui avait participé à une conférence de presse.
Promesse de vente vaut vente. Si le promettant veut céder sa promesse, il faut l'accord du bénéficiaire. Qui continue à jouir de ses droits. La denonciation de la promesse à l'initiative du promettant n'a de valeur que si elle est faite par le promettant lui-même ET son successeur, d'un commun accord. Ils seront tous les 2 solidaires des indemnités, dommages & intérêts et penalites dus.
SupprimerOui mais si la promesse est orale l'élu, le promettant, peut la retirer à moins que celui qui la promise, l'ancien président du val de sée ne la confirme. Cela pourrait être le cas pour Leroux-Anfray. C'est bon à savoir
SupprimerSi nous avions donné notre accord à RW2 puis à Sogetrel, à Demio en cours de financement et à la structure de formation, nous aurions 4 à 5 batiments supplémentaires aujourd'hui. Une autre société était également intéressée mais elle apportait peu d'emplois; une autre ba été refusée car elle ne correspondait pas au PADD.
RépondreSupprimer11 emplois dont 5 créations pour un bâtiment dans un premier temps, et la possibilité de relocaliser 2 autres sociétés (non présentes sur le territoire).
RépondreSupprimerLes petites rivières quoi.
EM
Merci de cette précision.
SupprimerVoilà une affaire qui fait beaucoup parler aussi chez nous qu'à Paris. On en parle même sur les plages de St Jean. On s'inquiète en haut lieu dans les services de l'Etat. Une affaire qui va faire du bruit. Le cadeau financier est énorme. Vos chiffres ont été vérifiés. Du coté réglementaire pour les travaux Sogetrel c'est pas mieux. Même la maitrise d'oeuvre n'a pas fait l'objet d'un appel d'offre alors que le site de construction ne fait pas partie de l'écoparc. Pas de permis, pas d'appel d'offres architecte, pas d'appel d'offres travaux de terrain pour un coût total estimé de 3,6 millions. Ça vaut une démission car ça engage tous les élus. Les faits sont graves. 3M se marre.
RépondreSupprimerCe que vous dites relève de l'article 40. Vous avez aussi votre affaire dans votre agglo. Un moyen de la rendre attractive��
SupprimerMonsieur le maire. J'ai une demande sérieuse pour un practice de golf. Il faudrait 3 ha. Le terrain de la Huberdière à Tirepied conviendrait. Je vous appelle. Cyrille.
RépondreSupprimerJudicieux comme idée, un practice de golf près du gîte.
SupprimerC'est une bonne nouvelle. D'autant que le parcours peut se faire en zone agricole.
SupprimerOn a beaucoup entendu dans ce point presse, MM et DN parler de la Région et d'Hervé Morin qui serait selon eux à fort pourcentage derrière eux. Incroyable la capacité de ce président de région qui auparavant ne s'est JAMAIS préoccupé de l'écoparc.
RépondreSupprimerIl n'y avait pas une histoire au sujet de la sécurité des données des téléphones à l'époque de son ministère ? Ils se connaissent peut être de cette époque. Donc tant mieux pour vous. Mieux vaut tard que jamais.
Supprimeron est beaucoup à se demander popurquoi votre président répond audoigt et à l'oeil à M. Millet? si Sogetrel était dans les deux batiments prévus pour cette société sur l'écoparc ça arrangerait tout et on aurait un practice de golf auprès du gîte. C'est incompréhensible. En plus poour un campus ce serait l'idéal????? Surprenant.... JPC un chef d'entreprise bien déçu.
RépondreSupprimerC'est bizarre toutes ces idées et propositions de dernière minute. Un practice de golf à l'écoparc alors qu'il y en a 2 à Granville et un à Vire. De plus l'endroit n'est pas propice. Mais bon, si c'est vrai!!!!
RépondreSupprimerC'est surprenant mais peut-être moins que le reste. Je suppose que l'opportunité sera qualifiée sous peu...
SupprimerL'un des investisseurs est un nom très connu du Sud Manche. Il fréquente en effet le golf à Bréville mais il souhaite un pratice près d'Avranches et près de l'autoroute. Cyrille
RépondreSupprimerA bien vous lire et prendre ces chiffres en compte, la société immobilière de monsieur Millet devrait payer
RépondreSupprimerLes 655000 euros prévus
La différence entre les 3.880.000 comptabilisés pour la SEM et les 5.500000 € coût réel des coques soit 1.620.000 qui comprend les 5/20ème propriété de votre agglo.
L'emprunt de 300000 de la SEM
Les surcoûts quand ils seront comptabilsés, subvention Etat, surcoût, Sogetrel, indemnisations entreprises locataires.Ce sera au moins entre 4 et 5 millions. Le prix de vente pour être honnête devrait se situer entre 10,5 et11,5 millions d'euros si vous ne voulez pas un plainte au derrière. Sachez aussi que la CChambre Régionale de la cour des Comptes va s'y intéresser de près. La SEM quant à elle va perdre 3.880.000 €.Bravo pour cette affaire du siècle. Quelques noms marqueront l'histoire du Sud Manche.
...
RépondreSupprimerJ'ai lu les commentaires.
Très intéressant.
On y voit tout, on y voit rien.
On y voit de tout et on ne comprend plus rien....
C'est bien...
Il faut rire ou pleurer ?
Je n'aime pas pleurer mais je n'ai pas envie de rire non plus.
Alors ?
Où va-t-on là ?...
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RépondreSupprimerIl ne faut pas remettre en cause les évaluations des Domaines ( services de l'État) mais les accepter telles qu'elles sont à + ou - 10%. En revanche les surcoûts doivent être comptabilisés.
SupprimerTout dépend ce que vous leur présentez. C'est d'ailleurs pour çà que la mise en concurrence est conseillée pour éviter toute contestation et obligatoire dans le domaine public.
SupprimerDonc si les coûts sont répartis entre plusieurs structures il est difficile pour eux de les évaluer.
Les surcoûts liés aux relogements des entreprises montrent bien que quelqu'un a merdé dans l'évaluation et/ou que les modes constructifs sont différents. Car si vous pondérez ces surcoûts à l'ensemble des bâtiments qui seront occupés à terme rien ne dit que vous ne retrouviez pas l'ensemble des coûts de l'opération.
Donc si vous remboursez vos prêts vous aurez fait une opération blanche côté collectivité et dépecé une société privée de ses actifs (et donc partiellement la collectivité actionnaire).
Enfin l'estimation comptable n'est pas tout... sinon toutes les sociétés seraient en faillite.
DIE depuis 2016. Elle a pour mission d'évaluer la valeur vénale en décomposant les éléments fonciers (terrains, bâti, équipements, etc).
RépondreSupprimerla valeur vénale d'un bien est le prix auquel ce bien aurait pu normalement se négocier à l'époque considérée. Elle est calculée en fonction de l'analyse des prix déclarés lors des mutations de biens présentant des caractéristiques identiques et affectés au même usage.
La base de données de référence pour la DIE est celle des notaires.
Problème : quels biens de même natures (Ecoparc, Parcs clos) ont été cédés en bord d'A84 à 100km à la ronde ? Aucun
Donc si le prix au m2 de la construction est en moyenne de 1600€/m2 en France et que vos biens ont coûté 1000€ à la construction il est délicat d'affirmer que la valeur vénale serait de 500€...
D'ailleurs ceci doit être cohérent avec l'assiette donnée par les impôts pour le calcul de la taxe foncière.
Remade vient de lever 125 millions de fonds auprès de LGT Européan Capital, Idinvest partners et SWEN capital Partners. Vous avez doc bien fait de faire les comptes; La société Ecoparc de MM doit pouvoir payer ce que la Communauté se doit de réclamer pour ne pas jeter l'eau à la mer. Faire cadeau de près de 7millions d'€ serait incompréhensible. de la part d'une commune qui n'a plus un sou. JCE
RépondreSupprimerOui sauf que vous oubliez qu'il ne s'agit pas d'une opération Remade en direct et que celle-ci n'est pas actionnaire majoritaire d'une sci ou sarl pour réaliser sa promotion.
SupprimerJe suis d'ailleurs surpris que les amis promoteurs de Mr Millet, Heude et Laisné, n'aient pas signalé cette incohérence dans le montage.
On a parlé d'avantages logiques des sci. Oui certes, y compris l'isolement du risque financier.
Les fonds et la solvabilité étant du côté de la holding qui lève les fonds, la Sarl Ecoparc devra encore lever son financement propre. Et elle ne peut le faire qu'une fois connus les coûts réels. Car il serait très difficile de transférer les fonds Remade sans procéder à prise de participations dans la société immobilière.
En revanche, oui cela crée un environnement financier favorable aux nombreuses sociétés détenues par MM.
Cdt
Le diable se niche dans les détails.
RépondreSupprimerExtrait de l'article de la Manche Libre :
"Deux sites dans le Sud-Manche
Créée en 2013, Remade est aujourd'hui une entreprise de taille intermédiaire (ETI). Remade est le spécialiste français du reconditionnement de téléphones portables. Le site de production est basé à Poilley. Récemment, le groupe a racheté l'Ecoparc de Tirepied. La société emploie 850 salariés dans le Sud-Manche. Leader français et européen du marché du reconditionnement, Remade souhaite désormais aller à la "conquête de nouveaux territoires dont les Etats-Unis, les pays scandinaves, l'Afrique ou encore l'Asie"."
- 1 site à Poilley et non 2 (inclus d'avance celui de l'ecoparc)
- Racheté. On parle de rachat d'une chose déjà achetée/vendue. Or ici avant de parler d'achat il faudrait déjà une promesse et un acte authentique (annoncé par la Manche Libre début 2019)
- Le groupe Green&Biz auquel appartient la SASu Remade compte à priori moins de 800 salariés pour la France (Save en haute Normandie, Sud de la France, etc). Le site de Poilley emploie entre 300 et 350 salariés (comptabilisés-déclarés hors interim) - source infogreffe. Donc il y a une différence entre objectifs (annoncés depuis 3 ans à 700 puis 850) et situation réelle.
Donc on peut se féliciter de la réussite du modèle Remade qui pour obtenir sa dette (obligations convertibles ?) a dû passer les audits techniques et juridiques des fonds d'investissement (qui normalement sont demandés par les Banques).
Moi-même chef d'entreprise je m'interroge tout de même sur l'intérêt de lever de la dette hors banques à des taux prohibitifs (et probablement des conditions de sortie non avantageuses). En général on cherche plutôt à lever des obligations (non convertibles) sur la holding financière pour créer du quasi fonds propres sur la société d'exploitation en compte courant bloqué. Cela permet l'effet de levier avec de la dette Banque qui viendra entre 50 et 70% du montant à lever.
Donc là on en déduit que les Banques ne souhaitent pas financer le BFR. Pour une société en bonne santé sans risque marché c'est un peu surprenant. Il est vrai que les banques ne sont pas connues pour aider facilement les entreprises ces derniers temps.
Néanmoins 125M est un joli coup à mettre au crédit d'un entrepreneur normand qui semble se sortir les doigts :)
Dommage que cette levée de fonds ne soit pas destinée partiellement pour la réalisation du campus puisque la SARLu n'est pas filiale de Remade ou à minima de la holding industrielle.
P. Martin